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Part I – Revendicarea revizionista: Holocaustul constituie o propaganda postbelica utila care a pornit asemenea unei campanii sistematice si insidioase in decursul Celui de-al doilea rasboi mondial (C2RM) ca fiind una din tacticile intrebuintate de interesele financiare pentru a strange trupe si a angaja lumea, in special America, in ceea ce s-a preschimbat, in fapt, intr-un rasboi fratricid. Principiul din spatele acestei propagande a fost: „Hai sa punem un inamic ca sa ucida alt inamic”.
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Part II – Revendicarea revizionista: Nu exista nici o dovada ca holocaustul a avut loc – asa cum este el descris de lobbyul promotor al holocaustului si de foarte politizata industrie a filmului de la Hollywood.
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Part III – Revendicarea revizionista: Numarul victimelor holocaustului este iresponsabil exagerat.
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Part IV – Revendicarea revizionista: Politica statala oficiala asupra evreilor in timpul celui de-al III-lea Reich era emigrarea, nu exterminarea.
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Part V – Revendicarea revizionista: Nu a fost gasit nici un document purtand semnatura lui Hitler in care sa ordone exterminarea evreilor.
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Part VI – Revendicarea revizionista: Zyklon B era un fumigen. Nu era un agent practic pentru crime in masa.
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Part VII – Revendicarea revizionista: Zyklon B era de inalta toxicitate. Astfel fiind ar fi fost prostesc si contraproductiv sa pericliteze personalul celui de-al III-lea Reich angajat sa impinga (evacueze) corpurile din camerele de executie la scurt timp dupa „gazare”.
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Part VIII – Revendicarea revizionista: expertul in executii, americanul Fred Leuchter, a adus o dovada stiintifica asupra asa-ziselor camere de gazare de la Auschwitz care nu puteau fi folosite in scopul sus-amintit.
Se inteteste DEMENTA LEGILOR LIBERTICIDE in Franta:
In timp ce revizionistul Vincent Reynouard a dat in judecata legea Fabius -Gayssot pentru neconstitutionaliate, dezbatuta acum pe 8 decembrie in fata Consiliului Constitutional din Paris, spre a fi suspendata, fosti membri ai organizatiei LICRA lucreaza la elaborarea unei
legi antirevizioniste DRACONICE,
1. care va da condamnari la 5 ani in loc de un an, (ca pana acum), plus amenda de 45.000euro
2. IAR DREPTUL LA AUTOAPARARE E MULT DIMINUAT SI INGREUIAT FATA DE CONDAMNATII DE PANA ACUM PENTRU DELICTUL DE OPINIE.
3. IN PLUS legea in lucru , concoctata de criminalii juridici ai Frantei, care calca in picioare dreptul la opinie si informare ale omului, SCHIMBA INCADRAREA CONDAMNATULUI PENTRU DELICTUL DE OPINIE LA CEL DE DETINUL DE DREPT COMUN, INCADRARE CARE NU MAI DA DREPTUL LA CAMERA INDIVIDUALA CI OBLIGA VICTIMA ACESTEI LEGI REPRESIVE SA LOCUIASCA CU CRIMINALII DE DREPT COMUN IN ACEEASI CAMERA ,adica cu traficantii de fiinte umane, cu proxeneti, si cu criminalii vinovati de toate crimele care rezulta din aceste activitati antiumane. .
Deoarece negarea holocaustului este considerata NEGAREA UNEI CRIME CONTRA UMANITATII, ACEASTA NEGARE ESTE POSTULATA IN REPETAREA FACTICA A ACESTEI CRIME.
IN ARGUMENTATIA ACESTOR VIZIONARI POLITICI , DOVADA CA HOLOCAUSTUL IMPOTRIVA EVREILOR A EXISTAT, CONSTA, CONFORM ACESTOR TRIBUNALE de OLIGARHI, IN „FAPTUL CA EXISTENTA LOR ESTE UN FAPT DE NOTORIETATE PUBLICA” , formula legiferata de Curtea Constitutionala Europeana,si copiata de majoritatea curtilor constitutionale ale tarilor membre, impotriva oricarui respect pentru demnitatea umana si ale drepturilor omului..
In fapt ,e vorba de o legiferare cu care se trece revizionismul prin furcile caudine ale IUDAISMULUI ORGANIZAT POLITIC.
E VORBA DECI DE O REPRESIUNE ORGANIZATA LA NIVELUL UNOR CONTINENTE, CACI ERNST ZUNDEL A FOST ILEGAL ARESTAT in 2003 SI LIVRAT INTAI DIN USA IN CANADA APOI LIVRAT GERMANIEI, EL FIIND ELIBERAT DIN INCHISOAREA GERMANA IN 2010 – ZUNDEL precum si alti revizionisti dintre care unii au facut chiar zece ani pentru opinia lor asupra faptelor istorice ,
EI SUNT MARTIRII VREMURILOR NOASTRE.
RIVAROL 3/12/015
Au fou : ils
veulent faire du révisionnisme un “délit contre l’humanité” puni de 5 ans de
prison ! Alors qu’une question prioritaire de constitutionnalité est débattue
le 8 décembre devant le Conseil constitutionnel pour supprimer la loi
Fabius‐Gayssot instituant un délit de révisionnisme (voir en pages centrales),
les adversaires de la liberté de recherche et d’expression en histoire trament
un nouveau projet encore plus liberticide que l’actuelle loi Gayssot.
Anticipant l’éventuelle décision des neuf “sages” de la rue de Montpensier de
supprimer du code pénal cette infraction en vigueur depuis un quart de siècle,
des parlementaires ont obtenu que ce 3 décembre soit discutée en toute urgence,
à trois jours du premier tour des élections régionales, une proposition de loi
de Valérie Boyer, député UMP des Bouches‐du‐Rhône, maire des 11ème et 12ème
arrondissements de Marseille et vice‐présidente du groupe Les Républicains à
l’Assemblée nationale, visant à faire du révisionnisme rebaptisé négationnisme
« un délit contre l’humanité » passible de cinq ans de prison ferme (contre un
an actuellement). Pis, il s’agit d’extraire le prétendu négationnisme du droit
de la presse pour que les personnes suspectées ou convaincues de révisionnisme
soient traitées comme des délinquants de droit commun. Ce qui est lourd de
conséquences, le droit de la presse, même attaqué depuis quelques décennies par
l’accumulation des lois Pleven, Gayssot, Lellouche, Perben, restant encore
relativement protecteur. Extraire le délit dit de négationnisme du droit de la
presse, cela permet à un juge d’instruction d’embastiller de manière préventive
un historien anticonformiste, un publiciste, un directeur de journal, un
intellectuel, un homme politique qui s’exprimerait librement sur les questions
historiques interdites. Ajoutons qu’un délinquant de droit commun n’a pas le
droit à une cellule individuelle et que les droits de la défense sont bien
moindres et plus difficiles à exercer qu’en ce qui a trait à un délit de
presse. Pour échapper à une éventuelle censure du conseil constitutionnel, les
auteurs de la proposition de loi — au premier rang desquels figure Bernard
Jouanneau, collaborateur, ami et avocat de Robert Badinter, ex‐ président du
Conseil constitutionnel, et longtemps membre éminent du conseil juridique de la
LICRA — ont eu l’idée de pénaliser tous les “génocides” modernes, exception
faite bien sûr du génocide vendéen. Voici comment Valérie Boyer justifie sa
proposition de loi numéro 2276 « visant à réprimer la négation des génocides et
des crimes contre l’humanité du XXe siècle » : « Cette proposition de loi
permet de créer une véritable assise législative à la Dignité de la Personne
Humaine en inscrivant la pénalisation du négationnisme des génocides, au même
titre que la traite des êtres humains, le proxénétisme et les infractions qui
en résultent. Il s’avère nécessaire et urgent de légiférer afin de proposer une
nouvelle qualification du négationnisme. En effet, l’opportunité de réprimer le
négationnisme de tous les génocides et crimes contre l’Humanité fait écho à une
actualité brûlante, dans le contexte des persécutions contre les Chrétiens
d’Orient en Irak et en Syrie notamment, qualifiées par Ban Ki‐Moon de crimes
contre l’Humanité. Cette nouvelle proposition de loi permet également de
préserver la loi Gayssot qui fait aujourd’hui l’objet d’une question
prioritaire de constitutionnalité à la demande du négationniste Vincent
Reynouard. J’insiste sur le fait qu’il ne s’agit en aucun cas d’une loi mémorielle.
Le négationnisme doit être considéré comme un crime contre l’Humanité car nier
l’existence d’un génocide, c’est tuer une seconde fois. » On le voit, on
profite des attentats du 13 novembre et de l’émotion populaire qu’ils ont
provoquée pour durcir considérablement la répression contre les révisionnistes
dont on ne sache pas pourtant que ce soient eux qui aient tiré à la kalachnikov
il y a trois semaines à Paris. De même qu’après le 11 septembre 2001,
l’administration Bush avait mis en place le Patriot Act pour restreindre
fortement les libertés publiques, réprimer “l’ultra‐ droite” et les
révisionnistes, tout particulièrement Ernst Zündel arrêté aux Etats‐Unis en
2003 officiellement pour violation des règles d’immigration, expulsé au Canada,
où il est maintenu en détention avant d’être extradé en Allemagne où il restera
cinq ans en prison, jusqu’au 1er mars 2010, pour « négation de l’Holocauste ».
Tout laisse donc à penser que le Système va profiter des attentats de la
mi‐novembre — dont on ignore qui sont les véritables commanditaires tant il est facile
pour des services de manipuler de jeunes gens exaltés — pour renforcer la chape
de plomb de l’idéologie prétendument antiraciste et de l’anti‐ révisionnisme.
Que ce soit un député UMP, qui plus est vice‐présidente du groupe du principal
parti de l’opposition parlementaire, qui soit à l’origine de cette infamie, que
des députés UMP très marqués à droite comme Guy Tessier ou Eric Ciotti aient
également cosigné cette proposition de loi en dit long sur l’évolution chaque
jour plus effrayante de l’esprit public et sur la couardise des politiciens. On
se souvient en effet qu’en 1990, au moment du vote de la loi Gayssot, tous les
parlementaires de droite avaient voté contre cette novation législative, la
jugeant sévèrement, même s’ils n’avaient pas eu le courage de déférer cette
proposition de loi devant le Conseil constitutionnel, alors présidé par Robert
Badinter, dans l’hystérie qui avait suivi la machination de Carpentras.
Vingt‐cinq ans plus tard, la “droite” entend faire adopter une loi infiniment
plus répressive encore. Cela n’est pas pour nous surprendre quand on connaît la
veulerie du personnel politique. Jacques Toubon qui, en tant que député
d’opposition, avait été l’un des plus incisifs contre la loi Gayssot et la
régression intellectuelle et juridique qu’elle engendrait, s’est montré, une
fois garde des Sceaux, un sectateur vigilant et implacable de cette loi
d’exception la faisant appliquer dans toute sa rigueur. Las cette lâcheté
généralisée, cette soumission servile au Dogme atteint désormais même le Front
national dont le programme de gouvernement ne mentionne plus depuis déjà de longues
années l’abrogation de la loi Gayssot, non plus d’ailleurs que celle de la loi
Pleven. Et il ne faut pas compter sur les actuels dirigeants du FN pour se
scandaliser de la proposition de loi Boyer, pour la dénoncer et la combattre,
car la stratégie marino‐philippotesque est clairement de passer sous les
fourches caudines du judaïsme politiquement organisé. Preuve de la perversité
et de la tartuferie des auteurs de cette proposition de loi, on ne présente pas
l’initiative parlementaire comme une loi mémorielle ; on répond à l’objection
sur l’inégalité de traitement des « victimes de génocide » en intégrant tous
les génocides officiellement reconnus au XXe siècle et on pousse même le vice
jusqu’à permettre en théorie aux révisionnistes de se défendre et de faire
valoir leur argumentaire. Mais évidemment il s’agit là d’un leurre. L’article 2
stipule que « les faits objet de la poursuite ou de la plainte seront réputés
commis de mauvaise foi, inspirés par l’hostilité ou la haine envers le groupe
de personnes victimes de ces crimes et réputés porter atteinte à la dignité de
ces personnes ou à celle de leurs ascendants ou descendants. Ils pourraient
toutefois bénéficier de l’excuse absolutoire prévue à l’article 122‐4 du code
pénal, s’il est établi qu’ils procèdent de découvertes ou de recherches
historiques qui en l’état, relèvent de la liberté d’expression et de la liberté
d’opinion instaurées par les articles 6, 10 et 11 de la Déclaration des Droits
de l’Homme et du Citoyen de 1789, par l’article 34 de la Constitution, ainsi
que par l’article 10 de la Convention Européenne de sauvegarde des Droits de
l’Homme. » Mais comme le génocide des juifs par chambres à gaz et le chiffre
des six millions sont considérés comme des faits de notoriété publique et que
les remettre en question a toujours été condamné par la Cour européenne des
droits de l’homme et quasiment toutes les cours constitutionnelles européennes
et les institutions internationales, on voit bien qu’il s’agit là d’une
imposture. D’ailleurs, les auteurs de la proposition de loi le disent
ouvertement : pour être condamné il suffit que les crimes contestés aient été «
reconnus : soit par l’État et/ou les personnes qui s’en sont rendus
responsables, soit par une Convention internationale que la France ainsi que
les États mis en cause auraient signée et ratifiée, soit par une instance ou
institution internationale à laquelle la France serait adhérente, soit par les
lois d’un nombre significatif de pays représentant au moins un douzième des
pays de l’ONU, soit par une décision de justice rendue par une juridiction
nationale compétente ou par une juridiction internationale établie par un
accord international, soit, à défaut, par une commission d’experts désignée par
le juge d’instruction saisi de la plainte comprenant au moins deux historiens,
deux juristes, et un fonctionnaire international qui auraient la possibilité de
s’adjoindre tout sachant de leur choix » Tout est donc cadenassé, verrouillé à
double et triple tour. D’autant que seront punies non pas seulement la négation
explicite de « crimes contre l’humanité » mais même « la contestation
systématique, la banalisation, la minimisation grossière, et la tentative de
justification des crimes contre l’humanité et des génocides du XXe siècle tels
qu’ils sont définis par l’article 211‐1 et 212‐2 du code pénal et/ou par le
statut du Tribunal pénal international ». Autant dire qu’il est certains sujets
qu’il sera impossible d’aborder, même avec les plus grandes précautions
oratoires, le nouveau délit étant puni « d’une peine de cinq ans
d’emprisonnement et de 45 000 euros d’amende », comme c’est le cas en Allemagne
et en Autriche où l’on ne compte plus les révisionnistes qui passent cinq ans,
et parfois dix ans, derrière les barreaux. Que l’on songe à Ernst Zündel, à
Horst Mahler ou à Wolfgang Frohlich qui sont les martyrs des temps modernes.
L’abrogation éventuelle de la loi Gayssot dans quelques semaines pourrait donc
n’être qu’une victoire à la Pyrrhus, le Système qui nous opprime ayant déjà
trouvé la parade en préparant bien pire. Leur monde est vraiment
haïssable. […]RIVAROL