Protocoalele Kogaionului Les Protocoles du Kogaion (1)
8 februarie 2023|Doctrină naţionalistă, Holocaust
PROTOCOALELE KOGAIONULUI

Les Protocoles du KOGAION

UN LIVRE SUR CE QUE CERTAINS APPELLENT

« l’HOLOCAUSTE DE ROUMANIE »

thèses et hypothèses

consignées et authentifiées par

Ion Coja

pour comprendre et évaluer correctement

le contentieux entre Roumains et Juifs

mais aussi ce que certains appellent

« l’Holocauste de Roumanie »

Intro –Antonie Plămădeală
Le temps viendra, lorsque ce peuple, aujourd’hui puni par Dieu pour sa désobéissance et sa réticence envers tout ce qui est juste, envers tout ce qu’il était autrefois, reconnaîtra certainement l’arrivée de Dieu sur terre, qu’il n’a ni pu ni voulu recevoir. Parce qu’une chose est certaine : les juifs finiront par se christianiser.

Antonie Plămădeală,

Métropolite de l’Ardeal

Tenant compte du fait que des personnalités juives, importantes et représentatives pour la société juive du monde entier, ont fait à plusieurs reprises des déclarations explicites par lesquelles ils accusent les autorités roumaines et les roumains de génocide, du meurtre de centaines de milliers de juifs, dans la période 1939-1944,

Comprenant que ces accusations représentent désormais le point de vue officiel, du gouvernement israélien et de la communauté juive internationale, et par conséquent de l’organisation B’nai B’rith,

Apprenant qu’à la suite de ces accusations, qui n’ont jamais eu de fondement, sont émises des prétentions matérielles de dizaines de milliards de dollars, que les roumains devraient payer envers des institutions juives qui n’ont, de toute manière, rien à voir avec les prétendues victimes de l’Holocauste en Roumanie,

Prenant conscience du danger « mortel » que ces accusations et prétentions représentent pour nous, les roumains,

et

Ressentant avec indignation et douleur le rôle de nation injustement agressée donné par la communauté juive internationale, nous retrouvant ainsi le dos au mur,

Nous nous sentons obligés et en droit de renoncer aux ménagements avec lesquels nous, les roumains, avons répondu jusqu’à présent aux accusations et, comme un acte de légitime défense,

Faisons connaître publiquement les thèses et hypothèses roumaines,

La responsabilité totale pour ce qui sera dévoilé revenant à ceux qui, par infamie ou par inconscience, ont inventé et médiatisé le mensonge sur l’Holocauste et les affreuses souffrances des juifs de Roumanie

L’Holocauste – entre mythologie et rigueur juridique

1.La grande tragédie de l’holocauste anti-juif, la tragédie de la Shoah, est un phénomène atypique, dans lequel ont été impliqués nombre de personnes, institutions, gouvernements et états, ainsi que diverses idées, doctrines et théories.La vérité intégrale sur les coupables de cet horrible crime devrait être établie telle quelle, intégralement, en dépit de la douleur et du prix de la vérité. Cela non seulement pour activer l’idée de justice, mais aussi pour pouvoir prendre, sur un plan mondial, les mesures adéquates afin de s’assurer que dans le futur l’humanité ne passera plus jamais par des situations pareilles. On considère, de même, tenant compte de la gravité de l’accusation, que dans cette situation, aucune instance humaine ne peut décider de la culpabilité d’un tiers sans respecter au pied de la lettre les règles du bon sens et des probations juridiques et scientifiques. Selon nous, ces règles n’ont pas toujours été respectées, d’autant moins par ceux qui, ces dernières années, accusent les roumains de génocide antisémite, d’holocauste ! Egalement, il ne serait pas juste de rejeter une accusation sans examiner sereinement et de manière impartielle les preuves et les arguments invoqués. Partant de ces principes, le procès de l’Holocauste, déclenché avec un retard difficilement justifiable, est loin d’être achevé. On est loin d’aboutir à des conclusions définitives et incontestables concernant la culpabilité et les dimensions de la culpabilité de ceux qui ont été impliqués dans les tragiques évènements historiques qui ont fait le contexte et la substance du phénomène appelé L’Holocauste des années 1939-1945.
Avant de faire d’en faire un chapitre de l’histoire du dernier siècle, ou même un chapitre de mythologie moderne, on aurait dû étudiér l’Holocauste d’une manière strictement juridique, de la perspective du droit pénal et civil, pour établir, premièrement au niveau de l’individu, le degré d’implication et de culpabilité de chacun, pour identifier en personne, tant les criminels que les victimes. Même s’il est regretablement tard, il n’est pourtant pas trop tard pour pratiquer prioritairement cet abord, tant que d’importants témoins de ces évènements sont encore en vie.

Un tel témoin est le roi Mihai Ier de Roumanie, qui a été le chef de l’état roumain pendant la période 1940-1947. Il n’a pas encore été, à notre connaissance, dérangé par ceux qui accusent le gouvernement de la Roumanie de ce temps du meurtre de centaines de milliers de juifs. Nombreuses sont les questions auxquelles seulement l’ex-roi peut répondre. De plus, le roi Mihai avait eu, à ce temps, beaucoup de rôles officiels qui le rendent responsable, aujourd’hui, de manière solidaire avec le maréchal Antonescu, d’une série d’abus et offenses anti-juives. Cela, bien évidemment, si les accusations des activistes de l’Holocauste s’avèreront justes. On trouve suspect le fait que ces accusations contournent la personne du roi Mihai. On a l’impression, sans le vouloir, que ces accusations ne seront pas faites tant que le roi Mihai est encore en vie et peut se défendre.

On considère –à valeur de principe- que les prétentions militaires formulées par le « camp » juif, ayant Elie Wiesel et autres eiusdem farinae à la tête, nous obligent à simplifier radicalement notre perspective sur l’Holocauste, à en abandonner la perception morale et émotionnelle et à réduire automatiquement cette problématique de l’Holocauste à un procès de dommages. Les règles de ce procès ne peuvent être autres que celles connues, en respectant mot pour mot les procédures juridiques pratiquées partout dans le monde civilisé. Selon ces procédures, avant de formuler des prétentions matérielles, les autorités en cause se voient obligées de présenter des documents soutenant la réalité et l’identité, aussi bien des victimes que celle des assassins. Nota Bene : il n’est pas du devoir des historiens, mais des juristes d’examiner les documents présentés par les réclamants. Sans présenter les documents et les preuves demandées par la pratique judiciaire dans de tels cas, les prétentions aux dommages matériaux sont nulles et infondées.

On souligne dès le début que les réclamants (« le camp juif ») n’ont pas pu, jusqu’à présent, présenter une liste avec les noms des victimes de l’Holocauste de Roumanie. Cela dans des conditions où toute l’archive de la communauté juive de Roumanie de l’époque a été transportée en Israël et est inaccessible aux historiens, les historiens juifs honnêtes inclus.

A présent, on ne peut que tirer une seule conclusion : les actes et documents de l’archive de la Communauté Juive de Roumanie contredisent la thèse de l’Holocauste et démentent les prétentions matérielles formulées par certains cercles juifs, raison pour laquelle l’accès à cette archive est pratiquement interdit.

Mail il faut dire que cette raison – l’intérêt de cacher la vérité, déshonore les autorités juives, l’Etat d’Israël lui-même, toute la communauté juive, ce qui leur enlève le droit de nous accuser d’Holocauste ! C’est une grande injustice , une abjection proprement-dite, d’accuser quelqu’un du crime le plus grave, le plus odieux, tout en cachant sciemment les preuves de l’innocence de l’autre. C’est la seule manière de laquelle on peut interpréter les efforts gênants de nos « adversaires » pour empêcher à tout prix, au prix de la déshonneur inclus, l’accès aux archives dans lesquelles nous espérons trouver les preuves de notre innocence ! Les preuves de l’innocence de nos parents !

On rajoute aussi le « détail » ,souvent omis, que les cadavres des 400.000 victimes tant invoquées n’ont pas été trouvés non plus. Même si après la guerre on n’a trouvé aucune tombe commune avec des cadavres tués par les roumains , aucune installation destinée à faire disparaître les 400.000 cadavres non plus. Pourtant, les historiens holocaustisants ne trouvent pas l’explication –pourquoi n’y a-t-il aucune trace matérielle de l’hécatombe humaine qui a produit 400.000 victimes et cadavres. Ainsi, on ne connaît ni les noms des victimes, ni a-t-on leurs cadavres ! La seule chose qu’on connaît est la dimension astronomique des dommages et des prétentions. On répète : conformément aux normes juridiques, ceux qui prétendent des dommages doivent produire la preuve des faits commis qui incriminent le bourreau. Sans certificats de décès, sans les cadavres des tués, sans même savoir le nom des victimes et des assassins, personne ne peut prendre en compte les prétentions juives aux dommages ! La procédure juridique est incomplète et non-concluante.

On mentionne qu’en Bessarabie et en Bucovine on a trouvé des tombes communes, avec des personnes tuées dans la période 1940-1944. Sauf que les victimes étaient des roumains, victimes d’assassinats en masse commis, pour la bonne part, par des concitoyens juifs !

Dans les cas où les juifs ont réellement été victimes des occupants hongrois, dans le Nord-Ouest de la Transylvanie, à Sărmaş et autres localités, leurs cadavres ont été trouvés et identifiés, ainsi que leurs assassins ! Mais il est question ici de quelques centaines de juifs, et non pas de centaines de milliers de juifs ! On répète : sur les 400.000 juifs qu’on affirme avoir été tués par les roumains, le nombre des cadavres identifiés ne représente même pas 1 (un) pour mille !

Ion Coja