Série de manuels révisionnistes de Barnes Review, Volume 1
LE CANULAR DE
L’HOLOCAUSTE DÉVOILÉ
Démythification du plus gros mensonge du 20e siècle
Par Victor Thorn
PUBLIÉ PAR THE BARNES REVIEW
Traduction de Roch Richer
2
Présentation Présentation
La recherche sur l’Holocauste est une entreprise dangereuse. Aujourd’hui, si un
livre semblable à celui que vous tenez en main était publié en Europe, son auteur
serait arrêté et emprisonné. Le crime : remettre en question le conte de
l’Holocauste. En fait, des chercheurs ont subi l’incarcération en solitaire, des
raclées sauvages par des assaillants, le harcèlement continuel, de longues
batailles juridiques, le suicide de carrière et l’attaque des médias dirigée contre
eux — tout ça parce qu’ils présentaient une histoire révisionniste de cet
événement central. D’autres écrivains révisionnistes ont été victimes de crimes
haineux, de nombreuses campagnes de diffamation, de menace d’amendes et de
mort.
Les auteurs cachés derrière ces tactiques d’état policier font partie de toute une
industrie sur l’Holocauste vouée à la suppression de toute information factuelle,
et ce pour favoriser le colportage d’un maladroit dosage de propagande bourrée
d’erreurs.
Le canular de l’Holocauste dévoilé dissèque chacun des éléments de ce qui est
devenu la conspiration la plus monstrueuse du 20e siècle. Ce livre couvre la
mythologie entourant les « camps de la mort », la vérité concernant le Zyklon B, la
fable d’Anne Franck, comment le chiffre absurde de « 6 millions » est devenu
ridicule et plus encore.
L’industrie de l’Holocauste s’est transformée en dictature tyrannique qui
manipule, déforme, marginalise et fabrique sans cesse de fausses conclusions
pour renflouer son navire qui sombre. En amenant leurs obsessions hystériques
au niveau de la psychopathie, les charlatans cachés derrière cette ruse montrent
de manière évidente la faiblesse du fondement de leurs arguments.
La version anglaise originale, The Holocaust Hoax Exposed, est disponible en livre
à couverture souple de 186 pages, chez The Barnes Review, P.O. Box 15877,
Washington, D.C. 20003, USA.
Dédié aux :
Historiens révisionnistes – passés, présents et futurs – qui continuent la
poursuite de la vérité, malgré l’étendue des dangers évidents qu’ils ont à
confronter, particulièrement à ceux qui ont préparé le travail pour que cet
ouvrage soit écrit.
3
« L’holocauste fut l’atrocité la plus extrême de
l’histoire humaine, et nous perdons notre
humanité si même nous voulons entrer dans
l’arène du débat avec ceux qui cherchent à nier
ou à minimiser les crimes nazis … En acceptant
la présomption ou … la légitimité du débat sur
certaines questions, l’on a déjà perdu son
humanité. »
Noam Chomsky
Préface Préface
En août 2000, on m’informa que la New York Stock Exchange (NYSE – la
Bourse de New York) en avait après moi. Les avocats de la NYSE étaient Baker
Bolts L.L.P., la seconde plus ancienne firme d’avocats à l’ouest du Mississipi et
homonyme de la famille Baker reliée à la politique, i.e., par l’ancien Secrétaire
d’État James A. Baker III. En fait, on considère Baker Bolts comme une sorte de
terrain d’essai pour quelques-uns des politiciens les plus en vue du pays. L’exPrésident des États-Unis à la pauvre élocution, George W. Bush, a travaillé au
service de courrier de cette firme.
La NYSE était outrée du fait que je m’étais montré critique à son endroit dans
un site de nouvelles que j’avais fondé, WallStreetJovial.com, jeu de mot avec leur
vénérable Wall Street Journal. J’avais pour évidente intention de montrer que les
gens de Wall Street sont joviaux parce qu’ils volent légalement tout le monde
aveuglé. Bien sûr, ils ne pouvaient pas vraiment me poursuivre en justice parce
que tout ce que j’avais écrit était vrai. Ils m’attaquèrent donc à partir d’un autre
angle.
Dans une page de clavardage en ligne, j’avais choisi comme surnom d’écran le
cupide enfant de l’affiche de la NYSE, Richard A. Grasso. Au moment de ces
courriels, « Dick » Grasso n’était pas encore connu. Sa fausse bravade suivant les
attaques sous faux pavillon du 11 septembre en faisant grimper et rouler la
Bourse — en plus des révélations concernant son enveloppe de paie
disproportionnée — lui assurèrent une place dans l’histoire des États-Unis.
Une des exigences de la NYSE fut que je ne tape plus jamais les mots « Richard
A. Grasso » — ou tout autre variante — sur mon clavier et destiné, d’une façon ou
d’une autre, à voyager sur Internet. J’en fus choqué et refusai donc. En dernier
recours, le juge fédéral Robert L. Carter déclara, dans son « Opinion », que le
Premier Amendement protégeait mes envois. Ainsi, Baker Bolts firent marche
arrière.
4
Le choc que je ressentis quand on me demanda de limiter ce que j’écrivais
dans les forums publics fut semblable au choc que je ressens toujours
aujourd’hui lorsqu’on me confronte aux prétendues Lois sur le Dénie de
l’Holocauste qui, dans certains pays, empêchent les individus d’en venir à leurs
propres conclusions concernant l’Holocauste juif lors de la Seconde Guerre
Mondiale. On permet aux individus de penser que « l’Holocauste » s’est déroulé
d’une manière différente de celle du récit officiel, mais ils ne peuvent tout
simplement pas en parler.
Il y a diverses raisons pour lesquelles certains pays ont promulgué ces lois,
mais une question naturelle se pose : Pourquoi cette information est-elle si
sacrée et rendue si tabou qu’on ne peut la mettre au défi ? Pourquoi tout autre
sujet dans le monde occidental peut être questionné sauf « l’Holocauste » ?
Qu’ont-ils donc si peur que l’on découvre ?
« Ils » se sont mis en tête de promulguer ces lois dans les pays suivants :
l’Autriche, la Belgique, la Bosnie et l’Herzégovine, la République Tchèque, la
France, l’Allemagne, la Hongrie, Israël, le Liechtenstein, le Luxembourg, les PaysBas, la Pologne, le Portugal, la Roumanie, l’Espagne, la Suisse et l’Union
européenne. C’est vrai, si vos recherches vous mènent à une conclusion
différente de ce qu’ « ils » vous offrent, vous pouvez vraiment payer une amende
et/ou être emprisonné. Demandez à David Irving, historien et auteur de plus de
trente livres sur la Deuxième Guerre Mondiale, ou au nationaliste et éditeur
allemand Ernst Zündel. Ces deux érudits bien éduqués ne s’intéressent qu’à une
chose : la vérité. Irving fut emprisonné pendant treize mois en isolement
cellulaire, et Zündel — kidnappé dans sa maison aux États-Unis — a été enfermé
pendant cinq ans et a enduré des conditions inhumaines qui auraient été mieux
adaptées à un meurtrier en série et non à un historien révisionniste. Tout ça pour
avoir lu, pensé, écrit et parlé d’un sujet que l’on considère comme « tabou ».
Dave Gahary
10 janvier 2012
*
Nota redacției: Ca popor, ca țară acuzată pe nedrept de participarea la „atrocitățile cele mai cumplite din istoria omenirii”, punându-ni-se în sarcină uciderea a peste 200.000 de evrei, nu putem fi indiferenți față de cei care susțin că aceste „atrocități” nu au avut loc! Ar fi minunat ca susținătorii acestei teze să aibă dreptate, iar conștiința de sine a omenirii să se ușureze de greutatea celei mai cumplite acuzații aduse omenirii. Site-ul nostru a adus numeroase mărturii, inclusiv de la autori evrei cu mare greutate, că România a fost o oază salvatoare pentru evreii supuși legislației naziste. Am publicat și punctul de vedere al celor care se „închină” la noua religie a Holocaustului. Cercetările continuă și sperăm să ajungă la un rezultat aflat deasupra oricărei îndoieli… Avem nevoie de adevăr pentru un viitor de normalitate, oricare ar fi acel adevăr! Oricât de puțin ne-ar conveni! Adevărul și dreptatea sunt mai presus de orice.
Vom publica integral cartea din care am dat mai sus primele pagini.
Comenteaza