INEDIT! O hora sibiana, in paginile unui ziar strain. “Hora” si ora englezeasca, inrudite?
- 5 Aprilie 2015 16:26
- Scris De Nicoleta IONIŢĂ
Cu multi ani in urma, un ziar de peste ocean- National Geographic Magazine *(1938) gasea o relatie stransa de rudenie intre… hora neaosa, straveche, si cuvantul englezesc “hour” (ora)- (jurnalistii vorbesc de radacinile latine ale celor doua cuvinte, desi… lingvistii identifica o etimologie bulgareasca- “horo”, potrivit DEX!; pe de lata parte, intr-adevar, “ora”, respectiv “hour” in limba engleza are desigur origine latina- “hora”), ambele sugerand idea rotundului, a unui ciclu, a perfectiunii induse. Ei bine, fotografia care insotea articolul cu pricina infatiseaza hora incinsa de un grup imens de tarani de pe plaiuri sibiene, ceea ce se regaseste si in text, autorii articolului explicand ca, intrebati fiind de catre ziaristi, taranii au raspuns ca, prin traditie, “ziua jocului’ era sambata.
Dincolo, insa, de textul propriu-zis, imaginea este de un pitoresc greu de descris in cuvinte.
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Nota Redacției: Puține sunt fotografiile care îți dau sentimentul că aparțin patrimoniului național. Această fotografie merită a fi recuperată cu toată grija și pusă în circulația valorilor la care ne putem oricând raporta. Este impresionantă vestimentația unitară a participanților, preocupați să se arate în portul lor popular, al satului, al ținutului: Mărginimea Sibiului, în cazul de față. Zona folclorică de maximă autenticitate românească, unde s-a creat portul popular românesc cel mai elegant.
Ar fi interesant dacă un etno-graf ar putea „citi” fotografia, explicându-ne rostul pentru care sunt mai multe grupuri de oameni, fiecare grup pare că dă viață unui alt ritual, unui alt „moment” folcloric.
Îi sugerăm Nicoletei IONIȚĂ, autoarea materialului, sau redacției publicației SibiuNEWS să obțină o reproducere cât mai fidelă a fotografiei și s-o multiplice ca pe o valoare de sine stătătoare, adică s-o răspândească. S-o comercializeze, simplu spus. Eu aș fi foarte bucuros să înrămez o asemenea fotografie și să mă zgâiesc la ea la nesfârșit… Ori s-o cumpăr gata înrămată. Nu cunosc o fotografie care să spună atât de mult despre lumea românească, despre frumusețea oamenilor de odinioară.
Adevarul este ca HORA, adica dans este si in limba greaca.
Posibil ca grecii sa o fi luat-o de la traco-geti.
χορεύουν στο χωριό
chorév̱oun sto cho̱rió
https://translate.google.com/#ro/el/hora%20in%20sat
Heures (mythologie)
Pour les articles homonymes, voir Heures.
Dionysos barbu menant les Heures, œuvre romaine d’époque impériale (Ier siècle ap. J.-C.), copie d’une œuvre néo-attique
Dans la mythologie grecque, les Heures (en grec ancien Ὧραι / Hôrai, « saisons », en latin Horae) sont un groupe de déesses personnifiant les divisions du temps. De trois à l’origine, leur nombre grandit et passe à 9, 10 ou 12. De même, leur rôle évolue selon les auteurs et les époques : elles symbolisent à l’origine le cours de la Nature à travers les saisons, puis deviennent des déesses de l’ordre et de la justice naturelle ; finalement, elles incarnent les divisions du jour, de l’aube à la nuit tombée.
Sommaire [masquer]
1 Mythe
1.1 Les douze Heures
2 Sources
3 Bibliographie
Mythe[modifier | modifier le code]
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À l’époque archaïque, les Heures sont filles de Zeus et de Thémis. Hésiode en compte trois : Eunomie, Dicé et Eiréné, c’est-à-dire le Bon Ordre ou la Législation, la Justice et la Paix, noms indiquant leur rôle moral.Homère les nomme les portières du ciel, et leur confie le soin d’ouvrir et de fermer les portes éternelles de l’Olympe. Elles sont aussi les régulatrices de la vie humaine. La mythologie grecque ne reconnut donc d’abord que trois Heures ou trois Saisons : le Printemps, l’Été et l’Hiver. Ensuite, quand on y ajouta l’Automne et le solstice d’hiver, c’est-à-dire sa partie la plus froide, la mythologie créa deux nouvelles Heures,Carpo (ou Xarpo) et Thalatte (ou Thallo), qu’elle établit pour veiller aux fruits et aux fleurs. Enfin, quand les Grecs partagèrent le jour en douze parties égales, les poètes multiplièrent le nombre des Heures jusqu’à douze, employées au service de Zeus, et les nommèrent les douze sœurs.
Elles accompagnent souvent les dieux et les héros et ce furent ces divinités qui se chargèrent de l’éducation d’Héra, de Dionysos, d’Aphrodite, d’Hermès, d’Aristée ; elles avaient aussi la mission de descendre auxEnfers pour prendre Adonis et le ramener à Aphrodite. Elles présidaient à la toilette d’Aphrodite.
Souvent les Heures sont accompagnées des Charites et des nymphes : les poètes et les artistes les représentent communément comme de gracieuses jeunes filles dansantes, avec un vêtement qui ne descend que jusqu’aux genoux ou bien vêtues d’habits longs, tenant des raisins, des épis, des rameaux fleuris à la main.. Sur les monuments, elles paraissent toutes du même âge : leur tête est couronnée de feuilles de palmier qui se redressent.
Allégorie de la paix et le bonheur de l’état. Nous pouvons observer Eunomie, Dice et Irene
Lorsqu’on fixa quatre Saisons, l’art introduisit à son tour quatre Heures (Eiar, Théros, Cheimon et Phthinoporon) mais les représenta dans des âges différents, avec de longues robes et sans couronne de palmier. L’Heure du printemps fut représentée sous la figure d’une adolescente aux traits naïfs, à la taille svelte et mince, aux formes à peine accusées. Ses trois sœurs augmentent en âge par gradation.
Les Heures présidaient à l’éducation des enfants, et réglaient toute la vie des hommes : aussi les voit-on assister à toutes les noces célébrées dans la mythologie.
Les Athéniens leur offraient les prémices des fruits de chaque saison. Ce culte gracieux ne fut pas transporté à Rome, où cependant Hersilie, la femme de Romulus, fut considérée comme la divinité présidant aux Saisons. On l’appelait Hora.
Les modernes représentent les Heures avec des ailes de papillon ; Thémis ordinairement les accompagne, et elles soutiennent des cadrans, des horloges, ou d’autres symboles de leurs attributions dans la fuite rapide du temps.
Les douze Heures[modifier | modifier le code]
Les douze Heures du jour ou de la nuit, filles de Chronos (le Temps) (d’après Nonnos de Panopolis) ou d’Hélios et de Séléné (Quintus de Smyrne), n’étaient que dix à l’origine :
Augé, la première Lueur du jour
Anatolé ou Antolie, l’Aurore ou le Lever du Soleil
Musica ou Mousika, la Musique ou l’Heure de la musique et de l’étude
Gymnasia ou Gymnastika, la Gymnastique ou l’Heure du gymnase
Nymphé ou Nymphe, le Bain ou l’Heure des ablutions et du bain
Mésembria, le Midi
Spondé ou Sponde, les Libations versées après le repas
Élété ou Élète, la Sieste ou l’Heure de la prière
Acté (ou Cypris selon les versions), l’Après-Midi ou l’Heure du repas et du plaisir
Hespéris, le Soir
Dysis, le Crépuscule ou le Coucher du Soleil
Arctos, la dernière Lueur du jour
Certains auteurs ne parlent pas d’Arctos mais de Chora, la Danse.
exista si ORA si HORA in limba greaca si zic eu de la forma literei „O”
In Iliada se face referire la un dans in cerc acompaniat de cor ( horos) numit chorea sau khoreia care ar fi desemnat si sat.
La noi corul dispare participantii cantand versurile si fiind acompaniati instrumental