Vers une révision du rôle du tribunal de Nuremberg, par B.
[Lors de son procès en 1998, pour quelques lignes des „Mythes Fondateurs den la politique israélienne”, Roger Garaudy s’était centré sur la réfutation de l’autorité du Tribunal de Nuremberg pour fonder une version officielle de l’histoire de la 2nde guerre mondiale. Enfin les choses se débloquent de ce côté-là:]

Décidément la Grande-Bretagne nous donne des émotions ces temps-ci : Après avoir révélé tout récemment (voy. n/message du 2/11/2012) que „La Grande-Bretagne torturait les prisonniers de guerre”, notamment pour en obtenir des aveux à utiliser lors des procès de Nuremberg, voici qu’en
raison de la déclassification de certains journaux intimes, on en apprend de belles grâce aux sites des quotidiens
„Daily Mail” et „The Guardian”.
Voici quelques extraits du „Mail Online” du 26 octobre (traduction TRES rapide):
[url]http://www.dailymail.co.uk/news/article-2223383/Churchill-opposed-Nuremberg-
wanted-Nazi-leaders-executed-jailed-trial.html[/url]

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Selon des révélations extraordinaires figurant dans des journaux intimes d’agents du MI5 pendant la guerre, Churchill „était contre l’idée de Nuremberg et voulait que les dirigeants allemands soient tués ou emprisonnés
sans procès”
Par Mark Duell

Selon des journaux intimes déclassifiés aujourd’hui [26/10], Winston Churchill voulait qu’au lieu de passer par les tribunaux pour crimes de guerre de Nuremberg certains dirigeants nazis soient exécutés et d’autres emprisonnés sans procès. Mais celui qui était le premier ministre de la
Grande-Bretagne pendant la guerre en aurait été dissuadé, lors de la célèbre conférence des „Trois Grands” [à Yalta] en 1945, par le président des Etats-Unis Franklin D. Roosevelt et le dictateur soviétique Joseph Staline.
Roosevelt a fait valoir que l’opinion publique américaine demanderait qu’il y ait de vrais procès et Staline a pensé que des procès fourniraient une bonne propagande. Les Britanniques acceptèrent le principe des audiences,
tout en craignant que ces dernières ne créent un dangereux précédent.
(…)
[Guy Liddell, dirigeant du contre-espionnage du MI5, aurait préféré qu’un comité prenne la décision de se borner à „en liquider certains et en emprisonner d’autres”], „ce qui aurait été une proposition bien plus claire et qui ne risquerait pas de jeter le discrédit sur la justice”, a dit Mr Liddell.
(…)
„Il me semble que nous sommes en train de nous rabaisser au niveau des simulacres de justice qui ont eu lieu en URSS durant les 20 dernières années.”
Un an plus tard, Mr Liddell s’envolait pour Nuremberg avec le chef adjoint du MI5, Oswald Harker, pour assister au procès des 21 principaux Nazis – et il eut bien le sentiment que, comme il le craignait, il s’agissait d’un procès-spectacle, rapporte „The Guardian”.
„On ne peut pas échapper à l’impression que la plupart des choses que ces 21 sont accusés d’avoir faites durant 14 ans, les Russes les ont faites durant 28 ans”, écrit-il dans son journal.
Pour Mr Liddell, c’est ce qui a contribué à créer l’atmosphère quelque peu bidon de tout le procès”.
Il ajoutait qu’il avait tiré de cette expérience l’une des plus grandes préoccupations, à savoir que le tribunal était „celui de vainqueurs s’étant dotés de leur propre charte, de leur propre procédure et de leurs propres règles d’administration des preuves pour traiter des vaincus”.
(…)
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Et c’est sur ce tribunal que se fonde la loi Fabius-Gayssot du 13 juillet 1990 pour embastiller les révisionnistes !