Le projet de génocide de la population blanche
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L’immigration de masse est un phénomène dont les causes sont habilement dissimulées par l’élite politique, sous la propagande de l’inévitabilité du mélange des cultures. Dans cet article, nous avons l’intention de prouver une fois pour toutes que ce phénomène n’a rien de spontané. Ce que les élites cherchent à présenter comme une fatalité de la vie moderne, est en fait l’aboutissement d’un plan conçu autour d’une table et concocté depuis plusieurs décennies, afin de changer de fond en comble la face de notre continent.
Le mouvement Pan-European
Peu de gens savent que l’un des principaux instigateurs du processus d’intégration européenne est l’homme qui conçut aussi le génocide des populations d’Europe. C’était un individu sinistre, dont l’existence est inconnue des masses, mais qui est considéré être le fondateur de l’Union Européenne par les élites politiques. Son nom est Richard von Coudenhove Kalergi (1894 à 1972). Son père était le diplomate autrichien Heinrich von Coudenhove-Kalergi (il avait des liens avec la famille byzantine des Kallergi), et sa mère était la Japonaise Mitsu Aoyama.
Grâce à ses liens étroits avec des aristocrates et des politiciens européens, et au réseau de relations créé par son père aristocrate et diplomate, Richard von Coudenhove-Kalergi put travailler caché, loin du feu des projecteurs. Il réussit à obtenir que les dirigeants des États les plus influents collaborassent à son plan, ce qui fait d’eux des partisans et des collaborateurs de son « projet d’intégration européenne ».
En 1922, il fonda à Vienne le mouvement Pan-European, qui visait à créer un nouvel ordre mondial, basé sur une fédération de nations dirigée par les USA, l’intégration européenne n’en étant que la première étape. Parmi ses premiers supporters, il y avait les politiciens tchèques Tomáš Masaryk et Edvard Beneš, et le banquier juif allemand Max Warburg, qui investit les 60 000 premiers marks. Le chancelier autrichien Ignaz Seipel et Karl Renner, futur président de l’Autriche, prirent les premiers la responsabilité de diriger le Pan-European et plus tard, des politiciens français, tel que Léon Blum, Aristide Briand, Alcide De Gasperi, etc., proposèrent leur aide.
Dans les années 1930, avec la montée du fascisme en Europe, le projet d’intégration européenne fut abandonné et le Pan-European fut contraint de se dissoudre. Mais, après la Seconde Guerre Mondiale, grâce à l’activité frénétique et inlassable et le soutien de Winston Churchill, la loge maçonnique juive B’nai B’rith et de grands journaux comme le New York Times, Kalergi réussit à faire accepter son projet par le gouvernement des USA, et plus tard la CIA s’impliqua dans la conduite du plan pour le mener à terme.
L’essentiel du Plan Kalergi
Dans son livre Praktischer Idealismus, Kalergi explique que les citoyens des futurs « États Unis d’Europe » ne seront pas les peuples du Vieux Continent, mais une nouvelle lignée métissée produite par la généralisation de minutieux croisements interraciaux. Il écrit que les peuples d’Europe doivent se croiser avec les Asiatiques et les autres populations non-blanches, afin de créer une population multiraciale n’ayant aucune idée claire sur ses traditions ou son identité, et donc facilement contrôlable par l’élite dirigeante.
Affirmant qu’il faut abolir le droit à l’autodétermination des peuples, Kalergi brosse à grands traits la façon de dissoudre les États-nations, grâce à des mouvements ethniques séparatistes, et la destruction des nations elles-mêmes, avec l’émigration de masse. Pour que l’Europe soit facilement contrôlable par la future élite, Kalergi propose de créer une population homogène issue de métissages. Mais qu’en est-il de la nouvelle élite ? Kalergi est particulièrement éclairant sur ce point :
L’Homme du futur sera métissé. Les ethnies et les classes d’aujourd’hui disparaîtront progressivement en raison de l’élimination de l’espace, du temps et des préjugés. Le futur sang mêlé négroïdo-eurasien, similaire aux anciens Égyptiens, remplacera la diversité actuelle des peuples et des individus.
Au lieu de détruire le judaïsme européen, l’Europe, contre la volonté de ses populations raffinées et instruites, le conduit à son statut de « nation dirigeante », par l’intermédiaire de ce processus d’évolution artificielle. Il n’est pas étonnant que le peuple qui s’est échappé du Ghetto-Prison soit devenu « la noblesse spirituelle de l’Europe ». Ainsi, les soins compatissants prodigués par l’Europe a créé « une nouvelle génération d’aristocrates ». Cela c’est produit quand l’aristocratie féodale européenne s’effondra à cause de l’émancipation des Juifs.
[Note de Lasha Darkmoon : L’aristocratie féodale « s’est effondrée », selon Kalergi, après la Révolution française (1789-1799), un événement cataclysmique qui devait inaugurer la longue marche de l’émancipation juive. La France fut la première nation européenne qui les émancipa en 1791.
Au cours des 129 années suivantes, le processus d’émancipation juive fut lent et difficile, accompagné de l’agitation constante des Juifs. En 1930, les Juifs avaient réussi à être pleinement émancipés partout. La dernière nation qui les émancipa en 1930, fut l’Espagne.
Tout au long de cette longue période de lutte, de nombreux antisémites connus, dont Voltaire, s’opposèrent à l’émancipation des juifs au motif qu’ils profitent de leurs libertés nouvellement acquises – en trompant et en s’appuyant sur des réseaux de connaissances – pour parvenir à établir leur suprématie. Il y a bien des choses à dire sur ce point de vue, puisqu’en Allemagne, les Juifs étaient trois fois plus riches que les Allemands moyens avant même leur émancipation là-bas, en 1871.
Bien qu’aucun manuel ne mentionne Kalergi, ses idées sont les principes directeurs de l’Union Européenne.
L’idée que les populations européennes doivent se croiser avec les peuples africains et asiatiques, pour détruire leur identité, briser les modes de vie traditionnels et créer une lignée métissée, est la raison des politiques communautaires qui favorisent les intérêts des minorités.
La raison sous-jacente n’est pas vraiment humanitaire, mais parce que la puissance derrière le régime impitoyable qui domine l’UE, planifie le plus grand génocide de l’histoire.
Un prix prestigieux est décerné tous les deux ans par la fondation Coudenhove-Kalergi aux Européens qui ont excellé à promouvoir ce plan criminel.
[Note de Lasha Darkmoon : Il est connu à présent sous le nom de prix Charlemagne, parfois sous le nom de prix Coudenhove-Kalergi, et est décerné tous les deux ans (parfois lors d’années successives) à des hommes d’État remarquables pour leur contribution à l’« intégration européenne », un euphémisme de multiculturalisme et immigration de masse. Tous les lauréats du Prix Charlemagne ont été d’ardents défenseurs de l’immigration de masse et d’un super-État européen sans frontières. Deux de ces bénéficiaires ont été Tony Blair (1999) et Angela Merkel (2008).
Le premier bénéficiaire du prix Charlemagne (en 1950) fut le comte Coudenhove-Kalergi lui-même. Le tout dernier, en 2016, est le dévotement philosémite Pape François – un autre défenseur de l’immigration de masse incontrôlée du Tiers-Monde vers l’Europe.
Voici la liste complète des gagnants du prix Charlemagne.]
Faciliter le génocide explique aussi pourquoi l’Organisation des Nations Unies demande constamment d’accepter des millions d’immigrants pour aider à pallier le taux de natalité européen. Selon un rapport publié en janvier 2000 par la division population des Nations Unies à New York, sous le titre Immigration de remplacement : Solution à la baisse et au vieillissement de la population, l’Europe devra accepter 159 millions de migrants en 2025.
Le fait de citer ces chiffres précis prouve la préméditation de ce projet.
De toute évidence, un faible taux de natalité peut facilement être inversé par des mesures appropriées en faveur des familles, et il est également évident que l’introduction de gènes étrangers ne préservera en rien notre patrimoine génétique, mais le détruira.
La conséquence des mesures actuelles favorisant le multiracialisme, est de créer une population disparate affaiblie, sans cohésion nationale, historique ou culturelle. En bref, les stratégies du projet Kalergi furent, et sont toujours, à la base des politiques gouvernementales officielles visant le génocide des peuples d’Europe, grâce à l’immigration de masse.
Brock Chisholm, ancien directeur de l’Organisation mondiale de la santé (OMS), a bien démontré cela quand il a dit :
Ce que doivent faire les gens partout dans le monde, c’est de limiter les naissances et favoriser les mariages mixtes (entre ethnies différentes). Il en résultera dans le monde entier, la création d’une seule lignée métissée susceptible d’être dirigée par une autorité centrale.
Si nous regardons autour de nous, la mise en œuvre du Plan Kalergi semble être à un stade avancé.
Nous sommes face au fusionnement de l’Europe et du tiers monde. Le fléau du mariage interracial produit chaque année des milliers de jeunes métis, appelés « enfants Kalergi ».
« L’homme du futur sera métissé. Les lignées et les classes d’aujourd’hui disparaîtront progressivement. La future lignée métissée négroïdo-eurasienne remplacera la diversité des peuples par une diversité d’individus. » – Comte Coudenhove Kallergi, premier bénéficiaire du prix Charlemagne (1950).
La traduction anglaise intégrale originale de cet article peut être lue ici.
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Commentaire de Lasha Darkmoon pour conclure
Le projet de métissage et d’abâtardissement du comte Kalergi avait le plein appui des Juifs. En fait, ce processus revient en fin de compte à faire disparaître la lignée blanche.
En 1924, l’ami personnel du comte Kalergi, le baron Louis Nathaniel Rothschild, le présenta à quatre autres Juifs puissants et fabuleusement riches qui devaient aider à financer son sinistre projet : le financier étasunien Bernard Baruch, le banquier allemand Max Warburg, et deux frères de Warburg, Paul et Félix.
Alors que de nombreux non-Juifs influents apportèrent leur soutien au super-État paneuropéen, composé de citoyens métissés gouvernés par des Juifs et leurs partisans shabbos goyim, Mussolini et Hitler furent peu impressionnés par les idées défendues par le comte métissé Kalergi. À vrai dire, Hitler qualifiait dédaigneusement Kalergi de « bâtard cosmopolite » – le mot « cosmopolite » impliquant peut-être que Kalergi était un crypto-Juif.
En ce qui concerne la possible extinction de la lignée blanche avec les croisements interraciaux, voir les deux excellents essais de Greg Johnson, L’extinction des Blancs et Le génocide des Blancs. La différence entre les deux concepts, extinction et génocide, n’est pas très difficile à saisir. L’extinction devient génocide quand elle est délibérée et intentionnelle, c’est-à-dire, fait partie d’un plan global et malveillant.
Et le génocide des Blancs est ce qui se trame en ce moment.
L’« anéantissement » de la lignée blanche, selon le professeur de Harvard Noël Ignatiev, est non seulement souhaitable, mais essentielle. La lignée blanche, insiste-t-il, doit être éradiquée. La manière dont Ignatief, un Juif connu, se permet de préconiser ouvertement le génocide des Blancs, et s’en tire sans ennui, est ironique. Et si un professeur blanc répétait exactement ce qu’il dit en remplaçant les mots « lignée blanche » par « lignée juive » ?
Il serait totalement inacceptable qu’un célèbre universitaire non-juif proclame :
L’objectif de l’anéantissement de la lignée juive, est, de prime abord, si souhaitable, que certains peuvent trouver difficile de croire qu’il pourrait s’attirer une opposition autre que celle des suprématistes juifs engagés… Ne vous méprenez pas à ce sujet : Nous avons l’intention de continuer à battre à mort les Juifs, et ceux qui sont vivants, et les Juives aussi, jusqu’à ce que le concept social connu sous le nom de « lignée juive » soit détruit.
Même Hitler n’a pas osé dire cela.
Lasha Darkmoon
Original : www.darkmoon.me/2016/project-white-genocide-the-dark-agenda-of-count-coudenhove-kalergi/
Traduction Petrus Lombard
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