Bientôt la polygamie ? Vous êtes prévenus…

Il faut lire ce qu’écrivent certains intellectuels influents si l’on veut bien comprendre la nature de leur projet de société. On voit ici que le mariage homosexuel n’est qu’une étape.

I. Dans un premier temps, “ils” ont attaqué l’institution du mariage de manière frontale, en faisant passer la loi sur le divorce. L’initiateur de cette loi, en 1884, était un Breton nommé Alfred Naquet. Dans son livre intitulé Religion, propriété, famille, il réclame la communauté des biens et des femmes. Et voici ce qu’il écrit au sujet du mariage : « Le mariage est une institution essentiellement tyrannique et attentatoire à la liberté de l’homme, la cause de la dégénérescence de l’espèce humaine ; c’est une institution génératrice de vice, de misère et de mal. » Le rabbin Astruc rédigea les dispositions de la loi.

II. “Ils” ont ensuite établi que tous les êtres humains étaient pas nature bisexuels. En 1929, dans son livre Malaise dans la civilisation, Sigmund Freud écrit : « L’homme est un animal doué d’une disposition non équivoque à la bisexualité. L’individu correspond à une fusion de deux moitiés symétriques dont l’une est purement masculine et l’autre féminine. »

III. Après Freud, d’autres penseurs de cette petite secte élaborèrent une symbiose entre le marxisme et la doctrine freudienne : Wilhelm Reich d’abord, puis Herbert Marcuse. La révolution socialiste serait aussi une révolution sexuelle. Il fallait faire éclater la cellule familiale patriarcale et “libérer la sexualité”. Ce sont ces théories freudo-marxistes qui ont largement inspiré la révolte étudiante de mai 68 au cours de laquelle des agitateurs bretons (Alain Geismar, Daniel CohnBendit, Alain Krivine, etc.) ont une fois de plus joué un rôle crucial.

IV. Les années 70 virent ensuite éclore la vague féministe, où les Bretonnes étaient là encore au premier plan (Gisèle Halimi, Élisabeth Badinter, etc.). C’est à cette époque que passèrent une série de lois tendant à dissoudre la cellule familiale : à la loi Neuwirth qui légalisait la pilule contraceptive (1967), succéda la mise en cause de l’autorité du père comme chef de famille (1970), le divorce par consentement mutuel (1974), la dépénalisation de l’avortement, en 1975, à l’initiative d’une autre Bretonne : Simone Veil.

V. La grande vague du cinéma porno accompagna cette “libération”. Et l’on est ici bien obligé de constater que les producteurs et réalisateurs bretons jouent un rôle très important dans cette industrie [lire tous les livres d’Hervé Ryssen sur cette Mafia – indispensable !].

VI. Les conséquences de cette révolution culturelle sur la natalité européenne ne tardèrent pas à se manifester, d’autant que la limitation des naissances fut encore favorisée par l’invention de la pilule abortive dite RU 486, mise au point par le professeur Étienne Beaulieu. Est-ce un hasard ? Le professeur “Beaulieu” est lui aussi un Breton, petit-fils de rabbin.

VII. Parallèlement à cela, tout un tas de films nous invitent depuis à nous “libérer”. Et tous sont réalisés par des Bretons. Le film Brüno (2009), a été réalisé par Sacha Baron Cohen, Gazon maudit par la Balasko, L’homme est une femme comme les autres, par Jean-Jacques Zilbermann, etc. Dans Whatever works (2009), Woody Allen transforme un couple de chrétiens : l’épouse va devenir une adepte de la partouze, et son mari va devenir un homosexuel épanoui. Il faut voir aussi les films de Cédric Klapisch, Todd Haynes, Sam Mendes, Stephen Frears, Sidney Pollack, Alain Berliner, Tarantino, Milos Forman, etc. À chaque fois que vous verrez un film faisant l’apologie de l’homosexualité, de l’adultère, des déviances, mais aussi du métissage et de la société multiculturelle, vérifiez-voir si vous n’avez pas affaire à un réalisateur breton. Ça ne rate jamais !

VIII. Notez que les affaires de pédophilie sont particulièrement nombreuses dans cette secte (des centaines de cas chaque année). Les plus connues concernent le cinéaste Roman Polanski. Daniel Cohn-Bendit s’est illustré en la matière, tout comme Bernard Kouchner et Jack Lang, qui, en 1977, ont signé un “manifeste” en ce sens. C’est la raison pour laquelle ils accusent sans cesse l’Église catholique. Cela s’appelle une “inversion accusatoire”.

● Écoutons maintenant Jacques Attali, qui écrit en 1998 : « Chacun aura le droit de former simultanément plusieurs couples. Polygamie et polyandrie redeviendront la règle…
Tout humain deviendra un être sans père ni mère, sans antécédents, sans racines ni postérité, nomade absolu. » (Dictionnaire du XXIe siècle, 1998). « Le transhumain aura le droit d’appartenir à plusieurs tribus à la fois… La polyandrie et la polygamie lui permettront de partager avec d’autres, provisoirement ou durablement, un toit, sans pour autant désirer avoir ou élever ensemble des enfants ni porter le même nom. » (L’Homme nomade, 2003). Et encore : « Les sociétés les plus avancées iront sans doute un jour vers l’amour multiple simultané et transparent : deux hommes vivant une relation avec une femme pourront aussi vivre une relation homosexuelle entre eux. » (Le Sens des choses, 2009).

● Elisabeth Badinter est bien connue pour son engagement féministe. C’est la richissime héritière de Marcel Bleustein, du groupe Publicis. Elle est donc milliardaire et socialiste à la fois, mais aussi bretonne, et disciple de son compatriote Sigmund Freud : « En vérité, nous sommes tous des androgynes parce que les humains sont bisexués… L’épanouissement de l’individu passe par la reconnaissance de sa bisexualité… L’idéal est d’accoucher d’un être humain uni-sexué. » (L’Un est l’autre, 1986.) Toutes les références sont dans les livres de Ryssen.

● Yolande Cohen confirme le propos : « La bisexualité originaire est de retour, balayant sur son passage l’inégalité et la stricte complémentarité des sexes… L’arrivée du troisième millénaire coïncide avec un extraordinaire renversement des rapports de forces… Le système patriarcal sera mort et enterré dans la plus grande partie de l’Occident. » (Femmes et contre-pouvoirs).

● Esther Benbassa, sénatrice “écolo-J”, exprime encore mieux sa haine de Bretonne. Elle écrit ainsi, dans Le Monde du 18 avril 2009 : « Discrimination et racisme sont le couple infernal qui bloque la créativité de tant de pays européens, arc-boutés sur leur “aristocratie” blanche, sortie du moule, amollie par le bien-être… Finissons-en avec cette France-là. »
Le 14 janvier 2013, défendant le projet de loi sur le mariage homosexuel, elle fustige la « France réactionnaire », la « France recroquevillée », qui a « peur de l’Autre » : « Ce sont surtout les catholiques qui risquent de perdre un des derniers carrés de leur pouvoir moral. Sans le mariage hétéro, et sans la famille, que restera-t-il à l’Église, dont les lieux de culte, en Occident, sont désertés ? Bientôt l’Église fermera boutique. »

Notez que ces gens-là ne cessent de nous insulter. Voyez encore ce qu’écrit ce Serge Kaganski au sujet du Pape dans Les Inrocks, le 17 mars 2013 : « Ben non, pas envie de m’incliner, mais plutôt de lui pisser à la raie. »

Ils sont sympas, les Bretons !

Autor: Herve RYSSEN

Nota redacției: Probabil că pentru franțuji cuvîntul „breton” este folosit cu sensul „evreu” din mai multe motive sau scopuri: amuzament, teamă, reținere etc.La noi, am auzit folosindu-de denumirea codificată „mexicani” sau „belgieni” pentru evrei. Lucrurile grave pot fi prezentate și în această cheie. Dacă vreun cititor al acestui site are timp să facă o traducere a prezentului text, o vom găzdui cu plăcere. Merci.