Le projet « Israël en Roumanie »
- 8. Mis quasiment le dos au mur avec l’accusation de génocide, accusés ainsi du crime le plus odieux connu par l’histoire et considérés comme redevant des dommages astronomiques pour les 400.000 juifs tués par le régime du maréchal Ion Antonescu, nous, les roumains, nous voyons aujourd’hui réduits à mettre de côté les ménagements et dévoiler tout ce que nous avons à dire pour nous défendre. Surtout, la vérité qui dit que, si nous parlons de génocide en Roumanie, il faut qu’on parle d’abord du fait que les juifs se font coupables de génocide eux-mêmes, de l’intention de génocide envers nous, les roumains. Lorsque l’on dit cela, on a en vue tout d’abord le projet juif de construire un état juif, l’Israël, sur le territoire de la Roumanie. La réalisation de ce projet aurait signifié la disparition de l’histoire de l’Etat et du peuple roumain. Ce projet, à la fois criminel et démentiel, projet « sans precedent dans les annales de l’histoire mondiale” (Vasile Alecsandri, le 7 octobre 1879, dans un discours au Sénat de la Roumanie), a été projeté au troisième décennie du XIXème siècle et a demarré proprement-dit après la paix d’Adrianopol (1829) produisant au fil des années d’importants evènements historiques ; avec de douloureuses conséquences pour le peuple roumain. Depuis, et jusqu’aux alentours de la seconde Guerre Mondiale, le nombre des juifs de Roumanie a augmenté incessement, devenant ainsi un danger pour le developpement normal de l’état roumain. Aussi bien que pour l’existence de ce dernier et de l’entière société roumaine. Selon un celèbre écrivain et publiciste juif, Mihail Sebastian, ainsi que selon d’autres sources d’information, le nombre de juifs de Roumanie atteignait quasiment les 2.000.000 vers la fin des années ’30. En Bulgarie, notre voisine, à la même date, ne vivaient pourtant que 9.000 juifs. Selon d’autres sources, 40.000 juifs. Mais pas plus ! Bref, dans les années ’30, la Roumanie était, de cette planete, le pays qui avait le plus de juifs, du point de vue de la proportion demographique.
Parmi ces juifs, la plupart étaient entrés en Roumanie au fil des années, illegalement, en forçant les autorités à les reconnaître en tant que citoyens roumains. A la fin des années 1930, des centaines de milliers de juifs vivaient en Roumanie illegalement, fuyant leur enregistrement dans les papiers officiels. Des pressions internationales de plusieurs grandes puissances, exercées constament sur les autorités roumaines, la plupart du temps par des voies illicites –comme le chantage- ont obligé nos hommes politiques à rendre légitime la présence en Roumanie de ces véritables invadateurs, ces « sangsues du village » roumain, selon les qualificatifs donnés par les villageois.
Ce n’était pas là une banale émigration en masse, telles que l’histoire mondiale en a tant connu, mais une véritable invasion, agressive, pérfide, lâche, lente et tenace, qui a menacé l’entité nationale des roumains. Et cela non pas en déclancheant des opérations ou des confrontations militaires, mais par un stratagème complexe et de longue haleine, qui devait masquer leurs réelles intentions. Le principal objectif de cette diversion criminelle était la propriété foncière, la possession de cette propriété par n’importe quel moyen. Le juifs veulent « devenir les propriétaires des terres de ce peuple et transformer les anciens maîtres de ces lieux en esclaves ». Ils veulent « devenir les maîtres de ce pays pour en faire une propriété israëlite » Celui qui avait fait ces déclarations était le poète, le diplomate Vasile Alecsandri, lors de la séance du Sénat roumain, comme cité ci-dessus. C’était un homme à l’esprit européen, ouvert à toutes les idées politiques modernes, un franc-maçon, donc une personne bien informée, equilibrée, qui a mené une vie exemplaire de tous les points de vue.
Nous consignons que le bagage génétique et biologique des roumains a été menacé et affecté par les pratiques et les actes auxquels se sont abaissés délibérément nombre des juifs de Roumanie. Grand nombre, trop grand, même. (Cf. Nicolae Paulescu, grand physiologue, sur les pratiques criminelles des juifs possesseurs de bistrots).
Cette réalité, cruelle et scandaleuse, anormale jusqu’à l’indignation ne nous fait pourtant pas oublier le fait que bien de juifs ont essayé, poussés par la bonne foi et une sincère loyauté, de devenir des citoyens corrects de la Roumanie. Nombre de ces juifs terrestres, comme ils ont souhaité se nommer, méritent les honneurs du peuple roumain pour leur prestation en tant que personnages publics. Pour ce qui est des autres…
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