Les juifs coupables d’holocauste ?

 

 

  • 2.    La liste des coupables – ou des supposés coupables – de la tragédie des juifs tués sans porter autre faute que celle d’être juifs, la liste des coupables de l’atroce génocide visant le peuple juif est aujourd’hui loin d’être complète. Cette liste ne peut même pas l’être et, par conséquent, le procès de l’Holocauste ne produira pas tous les effets attendus, tant que de cette liste manqueront totalement les juifs (personnes, institutions, doctrines) qui, d’une manière ou d’une autre, ont rendu possible l’existence, l’ascension politique et la consolidation au pouvoir d’Hitler et du nazisme, ainsi que la stratégie et le déroulement de l’holocauste. Bien sur, c’est probablement le plus triste paradoxe de l’histoire, qu’Hitler, lui-même partiellement juif, soit arrivé au pouvoir et se soit consolidé le contrôle sur l’état et le peuple allemands avec l’aide, parmi d’autres, de certains juifs. Mais tant que, concernant cet aspect de la culpabilité juive, l’état d’Israël, la communauté juive internationale ou ceux qui administrent aujourd’hui l’héritage de l’Holocauste, n’expriment pas leur point de vue; nous, les roumains, ne pouvons accepter l’expression d’une quelconque culpabilité des roumains. Nous, comme peuple et état, n’avons tiré aucun bénéfice de l’instauration du nazisme en Allemagne et du déclenchement de la seconde Guerre Mondiale, mais uniquement des pertes . En tant qu’état victime de la sinistre collaboration nazistes-comunistes, matérialisée par le pacte Ribbentrop-Molotov, la Roumanie est en droit d’incriminer elle-même tous les facteurs, les facteurs juifs inclus, ayant travaillé au soutien du nazisme, et de réclamer le dévoilement public de cette faute, et des grands préjudices qui ont découlé de là.

    Le temps est venu – et cela est impossible de laisser traîner, que le sionisme, le peuple juif en général, assume leur responsabilité, telle qu’elle est, pour la contribution juive à l’instauration du nazisme en Allemagne. La responsabilité juive pour la tragédie dans laquelle sont tombés les peuples de l’Europe, parmi lesquels le peuple roumain et surtout le peuple juif. On comprend combien il est difficile pour les juifs de payer ce prix de la vérité mais, si les juifs ne sont pas capables d’identifier, parmi les fils d’Israël, ceux qui sont coupables des souffrances d’Israël, il sera difficile pour eux de demander aux autres, aux autres peuples, d’identifier leurs criminels et de reconnaître leurs fautes par rapport au peuple juif. Ainsi, le moment est venu pour que les officialités juives (d’Israël et de la diaspora) pointent du doigt et punissent les juifs (personnes , institutions, doctrines) qui ont soutenu et ont salué l’arrivée au pouvoir d’Hitler, qui ont approuvé et justifié son idéologie et qui ont collaboré avec son régime. Et cela même lorsque les camps d’extermination avaient commencé à « produire » pleinement ! (voire, entre autres sources d’informations sur le sujet, les écrits des juifs Israel Shahak, Norman Finkelstein, Roger Garaudy).

    Dans les milieux qui s’y intéressent, et qui sont approximativement bien informés sur ce qui s’est passé à l’époque, il y a des théories et thèses qui font un lien entre le déroulement de l’Holocauste et une complicité juive, de certains juifs et de certains intérêts juifs. Il est hors de question que les leaders d’aujourd’hui ne connaissent pas ces thèses qui incriminent de la manière la plus sévère. L’opinion publique attend un démenti catégorique et bien argumenté de la part des juifs, de la part de ceux qui sont en droit de le faire. Démenti par lequel on pourrait mettre fin à ces spéculations qui donnent à l’Holocauste une dimension encore plus odieuse que celle qu’il a en réalité. Probable réalité !…

     On parle surtout de ceux qui lient le déroulement de l’holocauste aux théories racistes auxquelles nombreux leaders de conscience juifs ont adhéré. Et cela peu avant la mise en place du nazisme. Théories selon lesquelles l’homme doit intervenir pour éloigner de la procréation ou éliminer les exemplaires humains tarés, peu réussis biologiquement. Il n’existe aucun peuple en manque de ces exemplaires. La vie de ghetto a conduit à l’apparition d’un grand nombre de juifs dégénérés , d’un genre de « juifs de qualité inférieure ». C’est une hypothèse présentée par la BBC, il y a des années et qui appartient à un historien anglais, selon lequel les camps nazis de concentration et d’extermination avaient « sélectionné » surtout les juifs qui ne correspondaient pas à certains paramètres anthropométriques. Le signe distinctif de ces juifs de qualité inférieure semble être surtout la pauvreté et l’impossibilité d’atteindre un standard de vie au moins civilisé. De toute manière, on sait que, lorsqu’Hitler a demandé aux juifs de quitter l’Allemagne, ils n’ont pas tous été capables de le faire n’ayant pas où partir. Il semble que les leaders de la communauté juive ont été ceux qui ont décis, par des listes présentées aux officialités allemandes, quels étaient les juifs qui allaient partir, sauvant ainsi leurs vies, et quels étaient ceux qui allaient rester, pour ainsi remplir les camps d’extermination ! Un fait similaire a eu lieu en Bessarabie. Peu avant le déclenchement de la guerre, des dizaines de familles de juifs riches ont quitté la Bessarabie, ayant été informés de ce qui allait se passer, des faits graves, échappés au contrôle des lois. Ainsi, durant la même période, le départ sauveur vers la Palestine n’était pas accessible pour tous les juifs de Roumanie, mais était effectué selon des critères, biologiques ; parmi d’autres : jeunesse, dons physiques et intellectuels, état de santé parfait, etc. Ainsi, nombre de juifs ont été considérés indemnes de mettre les pieds sur la terre promise par Dieu aux juifs. Mais pas à tous les juifs !

    Des sources orales juives accréditent l’idée selon laquelle les milieux juifs connaissent les troublantes dimensions de cet Holocauste ! Sauf qu’ils ont l’interdiction absolue de commenter publiquement cette stupéfiante éventualité.

    En ce qui concerne la thèse (l’hypothèse) de l’historien anglais, ce dernier l’a présentée sous forme de pièce de théâtre qui, le lendemain de la première, a été interdite par la censure britannique, geste  sans précédent depuis plusieurs siècles en Angleterre. Pour justifier l’intervention, les organes de censure ont affirmé qu’ils ne mettent pas en cause l’interprétation de l’Holocauste, sur laquelle les spécialistes uniquement peuvent se prononcer. De même, ils prennent en compte la sensibilité de ceux qui ont souffert pendant l’Holocauste et qui seront douloureusement touchés par la thèse de l’auteur. Malheureusement, jusqu’à aujourd’hui, les spécialistes, surtout les juifs spécialisés dans l’histoire de l’Holocauste, n’ont pas encore répondu aux terribles accusations de l’auteur anglais. Le texte de ce dernier, ainsi que les arguments, sont restés inconnus et ont été enlevés du circuit public des informations. On considère qu’il est du devoir des historiens « holocaustisateurs » de discuter publiquement cette thèse, pour réparer ainsi l’abus de la censure britannique. Car les victimes de l’holocauste ne sont pas les seules à avoir une sensibilité, mais aussi les victimes de certaines accusations injustes, mensongères, comme celle d’avoir participé à l’Holocauste ! Et les victimes de ces accusations sont plus nombreuses que celles, supposées, de l’Holocauste.

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