Qu’en pense “le juif le plus important d’Europe” ?

  • .11 Il est certain qu’Ion Antonescu était au courant de ces traîtres plans, mais il a été assez sage pour se rendre compte que ceux qui s’étaient engagés dans ces activités anti-roumaines ne representaient qu’une faible part des juifs. « Parmi les juifs, 30 ou 40 mille sont dangereux, mais pas plus », déclarait le général en février 1941, en précisant ainsi quelles étaient les dimensions exactes de l’anti-sémitisme des roumains. Voilà pourquoi les persecutions anti-juifs durant le regime d’Ion Antonescu, des persecutions réelles, que personne ne conteste, ne visaient que les juifs comunistes et les juifs qui manquaient de loyauté envers l’état roumain, bref, les juifs qui étaient au service de projets politiques anti-roumains, à cette époque, des projets initiés par les russes, kominternes.

    Il nous reste nombre de documents, de preuves, provenant des leaders juifs sionistes et des juifs terrestres. Ces preuves montrent les conditions humaines, civilisées, acceptables dans lesquelless ont vécu les juifs pendant le gouvernement du maréchal Ion Antonescu . Nous citons ici une des déclarations parmi celles qu’a faites  -entre 1946 et 1955- le dr. Wilhelm Filderman, Président de la Fédération des Communautés Juives de Roumanie, le « juif le plus important d’Europe », comme il était considéré par les américains : « Aucun pays dominé par les nazis n’a vu survivre une aussi grande proportion de la population juive que la Roumanie. (1946)  Mais aussi «  Le maréchal Antonescu a fait tout ce qu’il a pu pour adoucir le sort des juifs qui se trouvaient menacés par les persecutions des généraux nazis (…) Grâce à l’intervention rapide du Maréchal Antonescu on a pu arrêter la déportation de plus de 20.000 juifs de Bucovine ; Il a emis des passeports en blanc, pour sauver de la terreur nazie les juifs de Hongrie, dont la vie était en danger ; Grâce à sa politique, les biens des juifs ont été placés sous un régime d’administration transitoire qui, tout en les déclarant perdus, leur a assuré la conservation jusqu’à la restitution, le moment venu. Je mentionne tout cela pour souligner le fait que le Peuple Roumain, pendant qu’il détenait le contrôle du pays, ne fut-ce que d’une manière limitée, ce Peuple Roumain a montré des sentiments d’humanité et de modération politique » . (1955)

    Malheureusement, sans accorder une seule explication, les defenseurs de l’idée d’holocauste en Roumanie, les mêmes qui nous accusent d’avoir tué des centaines de milliers de juifs, ignorent complètement toutes ces preuves, et, ce qui est plus grave encore, empêchent l’accès des chercheurs juifs aux archives de la Communauté Juive de Roumanie. Plus est, les mémoires de Wihelm Filderman, dans lesquelles on trouve des informations essentielles pour éclairer ce qui se passait dans la période 1939-1945, ces archives, peu avant d’être publiées par l’Académie Roumaine, ont été mises sous clef par les autorités israëliennes et interdites tant au grand public qu’aux spécialistes. Même situation pour le témoignage extrêmement important de N. Gingold, le président de la Centrale des Juifs de Roumanie pendant les années de l’Holocauste. Au printemps de 1944, dr. N. Gingold avait publié un rapport sur l’Activité de la Centrale des Juifs de Roumanie, un livre contenant des données essentielles pour comprendre ce qui s’était passé avec les juifs de Roumanie pendant ces années-léà et pour montrer quelles étaient les intentions et la politique des autorités roumaines regardant les juifs. Un livre qui infirme toutes les thèses utilisées et usées par les historiens holocaustisants. Raison pour laquelle la maison d’éditions Hasefer, appartenant à la Communauté Juive de Roumanie, s’est bien gardée de republier ce livre, de la même manière de laquelle les historiens se gardent bien de le lire. Parce que dans ce livre on comprend tout d’abord la dimension du bien qu’Ion Antonescu a fait aux juifs, en les aidant à s’organiser et à se regrouper pour former la plus puissante et efficiente communauté juive d’Europe.

    Dans le même livre, il résulte que la centrale des Juifs de Roumanie était une institution extrêmement bureaucratisée, ayant produit une archive impressionnante et qui a gardé une evidence très rigoureuse de tous les juifs de Roumanie. Consulter ces archives revient un acte indispensable pour tous ceux qui discutent du sort des juifs de Roumanie pendant les  années 1939-1945.

    Il y a beaucoup de documents de provenence juive qui soulignent la manière correcte, tolérante et humaine de laquelle ont été traités les juifs dans la période 1939-1945. Malheureusement, la grande majorité de ces documents se trouve dans des archives d’institutions juives , les historiens et les chercheurs n’y ayant pas accès. Dans ce problème, celui des sources d’information, nous ne pouvons que constater le rôle d’obstructeur que se sont assumé les autorités juives d’Israël et du monde entier, aussi bien de Roumanie, puisqu’ils bloquent l’accès à leurs propres archives. Nous ne comprenons pas comment il se fait que les historiens n’ont pas accès aux archives de la Communauté Juive de Roumanie, tandis que les archives roumaines ont été mises à disposition des historiens juifs de par le monde entier! Dans de telles conditions, nous ne pouvons plus prendre au sérieux une seule des accusations en provenance des autorités juives, qui, par leur attitude, prouvent ainsi qu’ils ont quelque chose à cacher et qu’ils ne sont point interessés par le soi-disant Holocauste de Roumanie. C’est pourquoi nous nous attribuons le principe selon lequel « tant que les archives juives et d’autres sources de documents juifs seront systématiquement cachés, tant que la publication des documents se fait de manière séléctive, selon un evidence de parti-pris et de subjectivité anti-roumains, synonimes du mensonge et de la désinformation institutionnalisée ; toute accusation provenant des juifs envers les autorités roumaines des années 1939- 1945 concernant le traitement des juifs en Roumanie devient ainsi imorale, frivole et manquant de sérieux ».

    Le contraste evident entre les autorités roumaines et celles juives est creusé par le comportement exemplaire du maréchal Ion Antonescu qui, en tant que chef d’état, a ordonné l’enregistrement par sténograme de toutes les discutions ayant eu lieu au conseil des ministres, considérant qu’il n’est pas de la dignité d’un roumain et d’un militaire de cacher ses intentions et de mentir. Ces sténogrames ont été recement  publié en intégralité et introduites dans le circuit public d’informations. Elles ne donnent aucun indice pour l’accusation d’holocauste et génocide chez les roumains, par le maréchal Ion Atonescu.