FRED LEUCHTER FRED  LA SCIENCE DÉMYTHIFIE LA FANTAISIE D’AUSCHWITZ

En 1988, Fred Leuchter, expert en construction de chambres à gaz, se rendit en Pologne afin de vérifier si des tueries de masse avaient eu lieu à Birkenau, à Lublin, à Auschwitz et à Majdanek.
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Leuchter préleva méticuleusement des échantillons de murs et de planchers des « chambres à gaz » mentionnées ci-haut afin de tester leurs résidus de cyanure qui, de toute évidence, devaient se trouver dans les structures s’il y avait eu des millions d’exécutions.
Ses découvertes furent surprenantes : les preuves relevées de l’expertise médicolégale ne démontrèrent que très peu, sinon aucune trace du gaz mortel Zyklon B que les historiens holocaustiques disent avoir été utilisé dans les prétendus camps de la mort.
Par contraste, les niveaux de cyanure dans les quartiers d’épouillage d’Auschwitz (employés pour débarrasser les vêtements des poux) étaient trois portions de magnitude plus élevées que dans les « chambres à gaz ». Autrement dit, les salles de dépouillage dégageaient une partie par mille contre une partie par million dans les soi-disant chambres de la mort.
Cette information est incontestablement claire, comme nous allons en discuter de manière plus étendue dans un chapitre plus loin. La seule raison pour laquelle on utilisait le Zyklon B, c’est pour enlever les poux des vêtements des pauvres ouvriers des camps de travail. Si on ne surveillait pas ces poux, ils menaient à l’éruption massive du typhus et d’autres maladies. Les Nazis n’employaient pas le Zyklon B pour tuer les Juifs. Ils l’utilisaient plutôt pour améliorer la vie de leurs travailleurs en rendant leur condition plus saine.
N’ayant vu aucune indication de Zyklon B incrustée dans les murs des soidisant chambres à gaz, Leuchter en conclut que toute cette histoire n’était qu’une fraude. Trois ans après ses études, le gouvernement polonais se lança dans des tests similaires. Étant donné qu’on ne trouva aucune preuve de Zyklon B dans les « chambres de la mort », le gouvernement établit qu’aucun gazage n’avait eu lieu.
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Un autre coup sévère fut porté à cette fable quand, dans un examen médicolégal privé, le Musée d’État d’Auschwitz donna mission à l’Institut de Recherche Médicolégale de Krakow de déterminer la prédominance de Zyklon B. Leur étude refléta l’analyse de Fred Leuchter : un minimum, ou un manque complet de Zyklon B dans les endroits censément utilisés pour gazer des millions de Juifs.
Le Rapport Leuchter confronta par la suite les techniques de construction employées dans ces installations. Il découvrit :
• Aucune des prétendues chambre de la mort n’était scellée par des joints d’étanchéité, chose obligatoire si l’on voulait utiliser un gaz mortel à des fin d’extermination. • Aucun procédé d’admission n’était présent pour injecter le gaz ou le distribuer dans toute l’étendue de ces chambres. • Les appareillages électriques n’étaient pas à l’épreuve des explosions. • Il n’y avait aucun ventilateur d’échappement ou d’écoulement pour évacuer les gaz de ces chambres. Sans ces installations vitales, les gaz mortels auraient aussi tué le personnel allemand présent sur la scène. Aucune cheminée d’échappement n’a même été construite durant la guerre. • Remarquablement, et en particulier à Auschwitz, les tuyaux d’écoulement des planchers des prétendues chambres de la mort étaient directement reliés au réseau collecteur d’eaux pluviales du camp de travail. De toute évidence, si l’on avait introduit du Zyklon B dans ces chambres, il aurait infiltré tout le système d’eau d’Auschwitz et, par conséquent, cela aurait tué tout le monde, Juifs comme non Juifs. • Enfin, toutes les chambres étaient si petites que, par simple arithmétique, six millions de Juifs ne pouvaient être exterminés dans le laps de temps attribué.
Leuchter nota dans son rapport : « L’auteur ne trouve aucune preuve que l’une ou l’autre des installations prétendues normalement avoir été des chambres d’exécution par le gaz aient servi à de telles fins, et il trouve de plus qu’à cause de la conception et de la fabrication de ces installations, celles-ci ne pouvaient pas avoir été employées comme chambres d’exécution par le gaz. »
En d’autres mots, c’était tiré par les cheveux et techniquement impossible que les camps d’Auschwitz et d’ailleurs soient des usines d’exécution de masse. Leuchter ajouta : « Nous avons fourni les preuves définitives qu’il n’y a pas eu de chambres d’exécution par le gaz employées à des fins génocides par les Allemands dans ces camps de guerre. Le fait est que l’histoire de l’holocauste n’est pas vraie. »
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Pour enfoncer ce point, prenez encore une fois en considération les simples chiffres. Si chacune des diverses « chambres à gaz », censément utilisées pour tuer les Juifs, avaient été bourrée au maximum à cent pourcent de son efficacité, en opérant sans arrêt vingt-quatre heures par jour, sept jours par semaine, il aurait fallu 65 ans pour exécuter un total de six millions de Juifs. Puisque les historiens holocaustiques déclarent que ces unités ne furent en opération que de 1942 à 1945 (i.e. trois ans), le gazage aurait dû continuer jusqu’en 2010 pour atteindre le chiffre mythique de six millions.
Ensuite, si tous les cadavres avaient rempli les fours crématoires au maximum de leur capacité — encore vingt-quatre jeures par jour, sept jours par semaine — cela aurait exigé 35 ans pour incinérer six millions de Juifs.
Note : Leuchter témoigna, en 1988, au célèbre procès d’Ernst Zündel qui dura quatre mois. Zündel finança la mission de recherche européenne de Leuchter — à grands frais personnels — pour inspecter les installations d’Auschwitz, de Birkenau et de Majdanek. Leuchter conclut, dans son rapport final : « Les prétendues chambres à gaz des sites inspectés n’auraient pu, et ne peuvent aujourd’hui, être utilisées ou sérieusement considérées pour fonctionner en tant que chambres d’exécution par le gaz. »
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LE ZYKLON B EMPLOYÉ À SAUVER LA VIE DES JUIFS,  ET NON À LES ÉRADIQUER À LES ÉRADIQUER

D’après la mythologie holocaustique, durant la première moitié des années 1940, des millions de Juifs, complètement dévêtus et poussant des cris, furent fourrés par milliers dans de petites chambres à gaz dont on barra les portes, et ensuite, un poison chimique, le Zyklon B, fut canalisé dans ces chambres au travers de fausses pommes de douche ou des glissières spéciales installées au plafond. Puis, afin de maximiser l’efficacité exigée pour atteindre le total de six millions, l’empilage de ces Juifs exterminés fut presqu’immédiatement déplacé pour que cette même chambre soit systématiquement remplie d’autres prisonniers attendant de se faire tuer.
Bien sûr, des ventilateurs devaient dissiper les émanations empoisonnées de Zyklon B avant que les soldats allemands puissent entrer dans les chambres à gaz et enlèvent les cadavres. De plus, tel que déjà mentionné, la star des témoins de Nuremberg, Rudolf Hoess, « confessa » que ces gardiens allemands fumaient des cigarettes et mangeaient tout en extirpant les corps des chambres à gaz quelques minutes à peine après que ces derniers aient été tués. Par conséquent, les employés de cette installation se seraient promenés dans ces chambres sans porter de masques à gaz ou sans vêtement de protection.
Un autre homme, le Dr C.S. Bendel, dit que les travailleurs allemands entraient dans les chambres à gaz quelque sept minutes après l’introduction des capsules de Zyklon B. Mais le problème avec cette histoire, c’est que les granules n’auraient émis qu’une petite portion de leur contenu en sept minutes. Si des centaines de personnes étaient entassées dans une chambre minuscule, il n’y a aucune possibilité que le Zyklon B ait pu les tuer dans un si court laps de temps. En outre, les Allemands étaient-ils à ce point incompétents pour entrer dans une chambre où des poisons mortels étaient encore actifs ?
Le célèbre historien de l’establishment, William Shirer, établit que les gaz furent injectés dans ces chambres par le moyen de fausses pommes de douche surélevées. Mais, encore une fois, il y a un petit problème. Puisque le Zyklon B est un gaz, il est plus léger que l’air et se serait dirigé vers le plafond et non vers le plancher. Si ceux qui étaient piégés à l’intérieur s’étaient précipité au sol, ils auraient prolongé leur durée de vie. De plus, si davantage de Juifs étaient entassés dans ces chambres minuscules, tout le processus soi-disant employé pour les tuer aurait été de toute évidence plus lent. Ce dilemme soulève plus de doute encore à propos du chiffre total de six millions. Donc, toute cette histoire de gazage se révèle particulièrement embarrassante.
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• Le Zyklon B a été fabriqué pour émettre lentement ses émanations gazeuses de cyanure. Pour tuer six millions de Juifs, tout en vérifiant le témoignage de Hoess, les gardes allemands ne devaient pas perdre une seule seconde en entrant dans les chambres à gaz après que les Juifs y aient été tués. Mais comment auraient-ils pu pelleter des centaines de cadavres empilés les uns sur les autres sans que ces gaz mortels ne les affectent aussi ? • Les concepteurs du Zyklon B déclarèrent publiquement que leur produit restait collé sur les vêtements et sur la peau. Or, rappelez-vous, le Zyklon B est un poison. Ils ajoutèrent également qu’il fallait au moins 24 heures avant que quelqu’un puisse entrer dans une salle qui avait été désinfectée au Zyklon B, et seulement en portant le meilleur des vêtements protecteurs possible et des masques à gaz avec filtres. Une seule bouffée de ce gaz de cyanure collé dans un vêtement peut tuer quiconque vient en contact avec lui. Le récit de Hoess peut maintenant être rejeté comme mensonger. De plus, à cause de cette période d’aération de 24 heures, atteindre le chiffre de six million est impossible. • Les historiens ont déclaré que les chambres de la mort possédaient des orifices de ventilation qui libéraient les émanations de Zyklon B après le gazage de milliers de Juifs. Mais lorsque la conception de ces camps fut inspectée, on vit clairement que des hôpitaux étaient adjacents aux soidisant installations de chambres à gaz d’où auraient été libérés des gaz mortels sur une base quasi continuelle pour tuer six millions de personnes. Même avec une seule fenêtre ouverte dans l’hôpital ou dans toute autre structure, tout le monde serait mort des émanations empoisonnées. • Le cyanure est extrêmement dangereux. On n’aurait pas pu toucher aux cadavres pendant au moins une journée entière avant que ne commence leur déplacement. De plus, le cyanure est explosif. Si les gardiens avaient fumé des cigarettes, comme le témoigna Hoess, ils se seraient aussitôt enflammés. • Vu les corps décédés entassés par centaines à l’intérieur des chambres à gaz, on peut logiquement présumer que ce cyanure d’hydrogène (HCN) serait coïncé en de multiples poches d’air entre les corps. Aussitôt qu’un gardien allemand en aurait déplacé un, le HCN se serait mis à flotter vers leur bouche et leur nez, les tuant assez rapidement. • Pour élaborer cette idée sur les Allemands entrant dans les chambres à gaz en fumant et en ne portant aucune protection vestimentaire afin de tirer dehors les Juifs décédés, le Document d’Information sur la Sécurité du Matériel de la Compagnie DuPont dit ce qui suit à propos du HCN, principal composant du Zyklon B : « Le HCN est instable face à la chaleur et extrêmement inflammable. C’est un poison à action rapide et il serait fatal si inhalé, avalé ou absorbé par la peau. »
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La citation suivante contredit également la propagande des historiens holocaustiques concernant le Zyklon B :
L’American Cyanamid Company de Linden, N.J. — « Nous ne connaissons aucun procédé chimique où le HCN (Zyklon B) puisse devenir instantanément gazeux par exposition à l’air. » Comment peut-on croire les déclarations disant que le Zyklon B fut introduit par des pommes de douche, tuant des Juifs en dedans de sept minutes ?
Le chimiste Germar Rudolf : « Pour des raisons technicochimiques, le gazage de masse déclaré par l’acide cyanhydrique dans les prétendues chambres à gaz d’Auschwitz ne peut pas avoir eu lieu. Les soi-disant installations d’assassinat de masse à Auschwitz et à Birkenau ne convenaient pas à cet effet. » Il ajoute : « Quelque soit le bâtiment que l’on choisisse à Auschwitz, tous sont irréconciliables avec les lois de la science de la physique. »
Il n’existe aucune autopsie prouvant que l’on employait le Zyklon B comme agent pour tuer les Juifs pendant la Deuxième Guerre Mondiale. À cette lumière, l’historien holocaustique juif, Raoul Hilberg, a témoigné sous serment, le 17 janvier 1985 : « Il n’y a pas un seul rapport scientifique démontrant une chambre à gaz. Je ne connais pas d’autopsie. »
Walter Luft, président de la Chambre des Ingénieurs Autrichiens : « Le meurtre de masse à la manière décrite avec le Zyklon B et le monoxyde de carbone ne peut avoir eu lieu parce que cela violerait les lois de la nature et parce que les pré requis techniques et organisationnels manquaient. Les crématoires n’auraient jamais pu éliminer le nombre des victimes. On peut considérer cela prouvé par la science de l’ingénierie. Les corps ne sont pas fait de matière combustible. Leur crémation requiert une grande quantité d’énergie et de temps. »
Dans un rapport de mars 1992, Luft se réfère à l’élimination des Juifs par le Zyklon B comme étant « techniquement impossible ». Il ajoute : « Le Zyklon B ne convient pas du tout dans des desseins de meurtres de masse systématiques. »
Le Dr William B. Lindsey, chimiste à la DuPont Corp. pendant 33 ans, témoigna sous serment en 1985 : « J’en suis venu à la conclusion que personne ne fut volontairement ou délibérément tué par le Zyklon B [gaz d’acide cyanhydrique] de la manière décrite. Je considère que cela est absolument impossible. »
Le Dr Charles Larson, expert en pathologie, a inspecté personnellement les camps de guerre après la Deuxième Guerre Mondiale. Après avoir mené plus de
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100 autopsies dans près de deux douzaines d’endroits différents, Larson ne put identifier aucun corps dont la mort eut été causée par gaz mortel.
Jean-Claude Pressac, supporteur de l’Holocauste, admit toutefois que 95 % de tout le Zyklon B fut employé à des fins antiparasitaires.
On sait également qu’une des qualités du Zyklon B est sa propension à se coller fortement sur toute surface avec laquelle il entre en contact. Les ventilateurs ou systèmes d’aération ordinaires sont incapables de l’enlever de sur les murs, les planchers et les plafonds.
Cependant, lorsque Fred Leuchter examina les prétendues chambres de la mort et envoya ensuite ses recherches à des laboratoires pour qu’on les inspecte, on ne trouva aucun résidu significatif dans les briques ou la maçonnerie où les Juifs furent censément exterminés par le Zyklon B.
Des traces de Zyklon B auraient dû être demeurées dans les murs d’Auschwitz et des autres camps pour des centaines d’années, mais les scientistes ne les trouvent pas… du moins, pas dans les chambres dans lesquelles les Juifs furent prétendument tués.
D’un autre côté, dans les salles d’épouillage où trempaient les vêtements et les couvertures, on découvrit rapidement de substantielles concentrations de Zyklon B. À quelle conclusion peut-on en venir à partir de cette analyse ? Le Zyklon B ne fut pas utilisé pour gazer des millions de Juifs dans de minuscules chambres de camps de concentration. Les Allemands l’employaient plutôt pour aider les Juifs et leur sauver la vie en épouillant leurs vêtements et leurs literies infestés de poux causant le typhus.
Comme preuve, toutes les chambres examinées après la Deuxième Guerre Mondiale et qui servaient de salle d’épouillage affichaient une décoloration bleuâtre — qu’on appelait le Bleu Acier — reconnue se formant après emploi de Zyklon B. Par contraste, les prétendues chambres de la mort ne démontrent invariablement aucun signe de ce Bleu Acier résultant de réactions chimiques via le Zyklon B.
Sous des conditions normales, quand le Zyklon B est lâché et qu’il vient en contact avec l’air, il faut environ deux heures pour que son contenu soit complètement épuisé. Mais les prétendus témoins de l’Holocauste soutinrent qu’après seulement cinq à quinze minutes le Zyklon B asphyxiait des centaines de Juifs, après quoi les gardiens entraient dans la chambre et sortaient les cadavres — tout cela pendant que les gaz mortels continuaient de se répandre dans l’air.
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Des photographies du Krematorium 1 d’Auschwitz montrent une mince porte qui, dit-on, conduisait à une des chambres à gaz. Or, cette porte n’est pas hermétique, pas construite avec solidité et elle est équipée d’une serrure. Il y a même une fenêtre vitrée et la porte s’ouvre par en-dedans. Si des centaines ou des milliers de cadavres s’étendaient au hasard à l’intérieur de cette chambre, comment les gardes ont-ils pu entrer, particulièrement si ceux qui se trouvaient en-dedans ont dû naturellement se ruer vers la seule sortie, c.-à-d., cette porte nettement fragile ?
Contrairement à cela, les portes de chambres à gaz utilisées pour enfermer les prisonniers américains qui ont été exécutés (i.e., la peine capitale) durant les années 1950-70, furent construites avec un métal spécialement fort et qui se fermaient très hermétiquement pour empêcher que ne s’échappent des émanations toxiques. Cela a beaucoup de sens. Donc, voir ces portes en comparaison de celles, toutes fragiles, d’Auschwitz s’avère étonnant et leur différence est fort révélatrice. Aucune des pièces à conviction d’Auschwitz, de Birkenau ou de Majdanek ne révèle de porte hermétique ou aucun semblant de système de ventilation adéquat compatible avec l’exhalation de Zyklon B après que des prétendues victimes soient gazées.
Au minimum, il faut vingt heures pour ventiler une chambre de son Zyklon B et seulement après que des techniciens experts aient contrôlé ce procédé grandement complexe. Pourtant, les historiens holocaustiques déclarent que des meurtres en masse ont eu lieu à une cadence effrénée, les cadavres étant expédiés et de nouvelles victimes rassemblées dans ces chambres à une vitesse folle. Pour tuer six millions de Juifs, leur efficacité se devait de dépasser les 100 %
Comme nous en avons fait allusion plus tôt, la raison principale de l’emploi du Zyklon B était de combattre un fléau connu sous le nom de typhus que
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transmettaient les mouches, les rongeurs et les poux. Le typhus survient quand un grand nombre de personnes vivent dans des quartiers exigus et insalubres. Pour éradiquer ce débordement de vermines, surtout parmi les soldats, les prisonniers et les travailleurs, on utilisa le Zyklon B dans des chambres spéciales d’épouillage.
Parce que les poux se cachent souvent dans les cheveux humains, les Juifs, comme tous les autres captifs, se faisaient raser les cheveux afin d’améliorer l’efficacité du processus d’hygiène. De plus, presque tout le monde en Allemagne virent leurs biens personnels traités au Zyklon B, y compris les marins, les ouvriers, le personnel d’hôpitaux, les soldats SS et tous les citoyens.
Afin de prouver cette question fondamentale, la Wehrmacht allemande possédait un nombre incalculable de factures, particulièrement dans les camps de travail tels que Theresienstadt et Oranienburg, là ou même les historiens holocaustiques admettent qu’il n’y a pas eu « d’homicides au gaz ».
À cet instant, nous devons nous demander : pourquoi ces installations — auxquelles absolument aucune accusation de meurtre de masse n’a été portée — utilisèrent-elles autant de Zyklon B que dans des camps comme Auschwitz ? Tout simplement parce qu’il n’y a jamais eu d’intention d’éradiquer les Juifs, mais plutôt de les épouiller, de la même façon que n’importe qui d’autre en Allemagne et dans les autres régions occupées par l’Axe.
Le Dr Arno Meyer de l’Université Princeton qualifia l’épidémie de typhus de « dévastatrice », alors que Jean-Claude Pressac s’y réfère comme d’une « catastrophe ». Pressac expliqua ensuite : « Tout devait être épouillé immédiatement : les effets personnels, les baraquements, les bâtiments et les bateaux. On eu besoin de tonnes de Zyklon B pour sauver les camps. »
Comme nous l’avons noté auparavant, le Zyklon B est un agent à action lente qui prend des heures à se libérer complètement. Si les Nazis avaient voulu exterminer les Juifs à la vitesse de l’éclair, il y a un grand nombre d’autres produits chimiques mortels qui eurent été infiniment plus efficaces. Ou bien, pourquoi ne pas leur avoir tout simplement tiré une balle dans la tête au lieu d’avoir soi-disant réuni des centaines de Juifs hystériques dans de minuscules chambres exigües ?
Le Zyklon B a protégé les Juifs contre la maladie, et à grande échelle. Cela les conserva vivants et en santé. Essentiellement, cela les sauva et les préserva de la mort au travers de l’épidémie de typhus. L’Institut de Recherche Médicale de Krakow analysa les chambres d’épouillage d’Auschwitz et rapporta avec assurance : « Les résultats sont la confirmation du fait que, dans ces chambres du Bloc 3, les préparations de cyanure d’hydrogène, comme le Zyklon B, servaient à la désinfection. »
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Réitérons un point antérieur. Les Archives Nationales de Washington, D.C., confirment que des lots égaux de caisses (six chacun) de Zyklon B furent expédiés à Auschwitz, en Pologne, et au camp d’Oranienburg, en Allemagne. Encore une fois, il n’y a pas un seul historien qui ait déclaré que l’on ait commis le moindre homicide par gaz à Oranienburg. Alors, pourquoi ont-ils reçu la même quantité exacte de Zyklon B qu’à Auschwitz où il se serait prétendument commis des meurtres de masse par millions ?
Parce qu’aucune extermination par poison n’a eu lieu à Auschwitz ou partout ailleurs aux mains des Nazis. Le Zyklon B était un insecticide que les rapports allemands ont clairement identifié comme ayant été uniquement utilisé pour l’épouillage de vêtements, de matelas et d’items personnels. Les dossiers allemands rapportent également l’achat d’équipement pour le gaz nécessaire à la construction de chambres de désinfection, pas de chambres d’extermination.
Maintenant, si quelqu’un veut vraiment inspecter les divers camps de travail, il réalisera rapidement que les chambres d’épouillage (i.e. pour les vêtements, la literie, etc.) sont beaucoup trop petites pour y massacrer des Juifs par milliers. Ces chambres de désinfection — par opposition aux faux quartiers de mort — étaient scellées hermétiquement avant que les boîtes vertes contenant le Zyklon B y soient vidées.
Chose intéressante, avant la Deuxième Guerre Mondiale, le Zyklon B était vendu avant tout sur le marché mondial comme insecticide primordial employé pour le contrôle des animaux nuisibles ; exactement sa fonction à l’intérieur des camps de travail dirigés par les Allemands. De la même façon, l’entité bureaucratique au sein du gouvernement allemand qui commanda le Zyklon B fut nommé Referat fur Schadlingsbekampfung. Traduits, ces mots veulent dire « Bureau de Contrôle des Animaux Nuisibles ».
Pour continuer sur cette ligne de raisonnement, les Forces alliées, comprenant les États-Unis, souffrirent aussi de l’éclosion du pou/typhus durant la guerre. Mais plutôt que d’employer du Zyklon B, comme le faisaient les Allemands, ils appliquèrent un nouvel agent chimique appelé DDT.
Pour illustrer jusqu’à quel point cette histoire de « Zyklon B utilisé comme agent d’extermination de masse » est ridicule, tout ce que l’on a à faire, c’est d’examiner les soi-disant chambres à gaz de Majdanek où des photographies ont été prises montrant, en vérité, des fenêtres sans barreau et derrière lesquelles les Juifs furent prétendument tués. De même, les chambres de fumigation d’Auschwitz ne sont jamais montrées aux visiteurs pendant leur tournée.
Oui, à Auschwitz, des bâtiments particuliers, spécifiquement destinés à l’épouillage des vêtements et des matelas, sont encore debout. Pendant la Guere, il y avait à l’intérieur d’eux des machines qui introduisaient et faisaient circuler le
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Zyklon B, en plus des ventilateurs d’échappement qui faisaient ensuite sortir de manière sécuritaire les gaz toxiques une fois que la fumigation était terminée.
Finalement, soyons clairs : le Dr William Lindsey, chimiste fort estimé, déclara de façon définitive que le Zyklon B était utilisé, non seulement pour sauver la vie des travailleurs juifs, mais que les membres SS étaient également soumis au procédé d’épouillage du Zyklon B. Celui-ci ne fut jamais employé à mettre fin à une vie humaine. Au lieu de cela, il protégeait les gens, maintenait leur santé et les prévenaient d’une horrible mort par le typhus.

LES BOMBARDEMENTS ALLIÉS MENÈRENT À LA MORT DES RENT À LA MORT  DES JUIFS (ET DES AUTRES TRAVAILLEURS), PAS UNE CAMPAGNE SYSTÉMATIQUE D’EXÉCUTION PAR LES NAZIS

Des Juifs ont-ils péri durant la Deuxième Guerre Mondiale ? Oui, sans équivoque. Sont-ils morts à l’intérieur de camps de la mort homicides ? Sans équivoque, la réponse est non. La cause première de la majorité des décès découle d’une épidémie massive de typhus, résultat de ce qu’un nombre immodéré de gens vivaient dans des conditions insalubres.
Voici la grande question : pourquoi tant d’individus périrent-ils dans les camps de travail nazis, en particulier dans les derniers mois de la Deuxième Guerre Mondiale ? Tout simplement parce que les Nations alliées lancèrent une attaque si extraordinaire contre les Allemands que les lignes d’approvisionnement furent littéralement anéanties. Pour cette raison, la nourriture, les médicaments et tout autre nécessité à la survie humaine ne se rendirent plus aux installations comme celle d’Auschwitz.
Munich en Munich en Munich en Munich en ruines après une attaque de ruines après une attaque de ruines après une attaque de ruines après une attaque de bombardements alliés bombardements alliés bombardements alliés bombardements alliés ► ►► ►

Pas besoin de vous dire que les Juifs — comme toute autre race ou groupement de gens y résidant — moururent de faim ou de maladie. En plus, des Allemands périrent pour les mêmes raisons. Un rapport de la Croix Rouge datant de 1948 confirme cet état de délabrement. « Dans la condition chaotique de l’Allemagne après l’invasion, durant les derniers mois de la guerre, les camps ne reçurent aucune nourriture et la famine réclama un nombre croissant de victimes. »
Pour soutenir cette position, un historien holocaustique de foi juive, nommé Arno Mayer, révéla dans son livre de 1988 intitulé Why Did the Heavens Not Darken? (Pourquoi les cieux ne se sont-ils pas obscurcis ?), « Les sources pour l’étude des chambres à gaz sont à la fois rares et peu fiables ».
Pour combattre les doses massives de propagande, d’astucieux enquêteurs ont présenté une version bien plus
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précise des événements et qui se trouve tout à l’opposé de la pléthore de mensonges actuelle. Par exemple, des photographies du camp de Bergen-Belsen, en Allemagne, montrent un grand nombre de prisonniers émaciés vivant dans des conditions horribles. Alors, les historiens mirent de l’avant la fausse notion que toutes les personnes résidents dans tous les camps enduraient pareille épreuve.
Toutefois, jusqu’aux derniers mois de la Deuxième Guerre Mondiale, ce genre de scène était complètement atypique dans les installations de travail. La vie des prisonniers ne se détériora pour en arriver au décès que lorsque les Américains et les Britanniques balayèrent presque toutes les lignes d’approvisionnement.
Évidemment, en guerre, le but visé est la victoire, donc, les Alliés ne firent que ce qu’ils jugèrent nécessaire pour gagner. Grâce à leurs bombardements, déployés jusqu’à saturation, contre à peu près toutes les ville majeures d’Allemagne, toute l’infrastructure logistique s’effondra. Les camions de nourriture ne pouvaient plus passer, ni les ambulances, pendant que le transport ferroviaire avait été détruit.
Alors, soyons clairs : les Juifs, les Allemands, les chrétiens, les gitans, les homosexuels et bon nombre de prisonniers de ces camps de travail ne moururent pas à cause d’une campagne d’extermination délibérée, mais du typhus, de la famine et de la maladie causés par les attaques de bombardement alliées.
Or, si les Allemands avaient l’intention d’éliminer autant de Juifs qu’il était humainement possible — aussi rapidement que faire se peut — ces derniers n’auraient pas vécu assez longtemps pour être affamés et errer comme des squelettes émaciés. On leur aurait simplement tiré dans la tête pour clore le cas.
Mais, puisque beaucoup d’entre eux furent affamés, cela renforce la notion que la nourriture n’atteignait pas les camps parce que les lignes d’approvisionnement étaient coupées. Chose ironique, puisque tant de prisonniers étaient entassés ensemble dans des conditions insalubres, si on avait eu en main plus de Zyklon B, davantage de Juifs (et n’importe qui d’autre) eurent sans doute survécu.
Pourtant, à mesure que les travailleurs expiraient à un rythme alarmant, les Nazis étaient loin d’avoir assez de ressources pour enterrer ou incinérer les cadavres pourrissant par la maladie. Cette situation ouvrit la porte à exploitation à une échelle colossale.
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À savoir qu’on utilisa des photographies épouvantables prises de ces amas empilés de cadavres émaciés pour censément prouver que les Nazis exterminèrent les Juifs dans leurs camps de concentration.
Mais aucun d’eux ne fut assassiné et tous n’étaient pas juifs. Les morts provenaient de toutes les nationalités, y compris des Allemands, et ils périrent de diarrhée, de dysenterie, de la typhoïde et par manque de nourriture.
Bombardem Bombardem Bombardem Bombardement à Dresde ent à Dresde ent à Dresde ent à Dresde ► ►► ►
Les mensonges se sont perpétués parce que, lorsque les historiens holocaustiques se servirent des soidisant preuves des atrocités nazies à Belsen, à Buchenwald ou à Dachau, la plupart des photographies montrant des piles de cadavres furent prises après les bombardements de Dresde — ville allemande — par les Forces alliées, les 13 et 14 février 1945. On dressa d’autres photographies de cadavres des villes incendiées de Hambourg et de Cologne. Aucun de ces cadavres n’était une victime juive des camps de concentration.
Dresde n’était guère une ville industrielle ; elle accueillit plutôt des réfugiés de guerre sans nombre qui n’avaient aucun autre endroit où aller. Dresde ne constituait pas une menace pour les Alliés. Pourtant, elle fut confrontée à l’extermination génocide de 135 000 citoyens innocents.
En tout cas, peu sont au courant qu’une multitude de travailleurs furent libérés des camps comme à Belsen et Dachau. Les reporters de nouvelles filmèrent ces individus sortant d’endroits comme Buchenwald après que se soient présentées les Forces alliées. Les prisonniers en furent tellement joyeux qu’ils applaudissaient, riaient et célébraient.
Et parmi ces prisonniers, il y avait des Juifs. De plus, lorsque des médecins alliés pratiquèrent des autopsies sur les cadavres de ces camps, ils constatèrent que la cause première de leur mort était la maladie. Les techniciens médicaux ne relevèrent aucune autopsie où ceux que l’on avait empilé avaient été tués par gaz.
En tout, les films d’horreur de prétendus cadavres de Juifs empilés en tas font, en fait, partie d’une vaste campagne de propagande orchestrée afin de tromper le monde. À Dresde, suite aux nombreux raids aériens, les corps des Allemands – hommes, femmes et enfants – furent rassemblés en tas de 400 ou 500 et on y
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mit le feu. Ces images furent plus tard employées pour « prouver » que des Juifs avaient été exterminés par de méchants tueurs nazis.
Toute la prémisse est un pur exemple de fausseté. Les Juifs ont usurpé ces bobines de film et ces photos pour ensuite les afficher dans les musées afin de dépeindre l’inhumanité horrible et génocide des Allemands. S’il y eut jamais un holocauste durant la Deuxième Guerre Mondiale, il a eu lieu à Dresde, pas dans les camps de concentration.