Première partie Première partie
Déconstruction de la mythologie
sur l’Holocauste sur l’Holocauste
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INTRODUCTION INTRODUCTION: UNE ACCEPTATION DES ACCEPTATION DES
INVRAISEMBLANCES INVRAISEMBLANCES
Il s’agit du conte de fées le plus ridicule du 20e siècle et on l’appelle le canular
de l’Holocauste. Quiconque aborde le sujet avec un esprit ouvert doit
sérieusement considérer comme guide les paroles de 1 Corinthiens 13:11 :
« quand je suis devenu homme, j’ai aboli ce qui était de l’enfance. ». Donc,
comme le Père Noël, le Lapin de Pâques et tout autre produit de l’imagination, le
récit des six millions de Juifs exterminés dans des camps de la mort du
Socialisme National n’est rien d’autre qu’une ruse trompeuse.
Dans les pages qui suivent, le lecteur rencontrera certains contes les plus
imaginatifs connus de l’humanité. Ou, si nous appelons une épée par son nom,
les mensonges perpétrés par les « historiens » holocaustiques sont si énormes, si
pauvrement élaborés et si carrément ridicules que cela en serait hilarant si ce
n’était pas aussi pathétique. Qui a besoin de l’humoriste juif à scandales Lenny
Bruce pour glousser de rire quand ces contes à dormir debout constituent du
meilleur matériel de comédie humoristique ?
L’histoire officielle transmise depuis les six dernières décennies raconte que
les Nazis ont exterminé six millions de Juifs dans des camps de concentration
durant la Deuxième Guerre Mondiale. Évidemment, quelque chose peut avoir été
« prouvée vraie » un millier de fois, mais si elle est trouvée fausse ne serait-ce
qu’en une occasion, elle ne sera plus jamais vraie.
Gardant cet important truisme en tête, si un quelconque chercheur impartial
utilise la méthode scientifique, il découvrira que c’est littéralement un jeu
d’enfant de mettre en lambeaux, disséquer et mettre à mort le fragile mythe de
l’Holocauste.
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En utilisant le simple bon sens, la raison et la logique, tout le château de cartes
entourant cette fraude gigantesque s’écroule sous le poids de ses propres
mensonges. Ce n’est que par une acceptation complète et totale de ces
invraisemblances que l’on peut accepter cette tricherie absurde.
Naturellement, il existe des escrocs, hommes et femmes, grassement payés
pour proclamer que l’on ne peut pas discuter, débattre ou même remettre en
question le tigre de papier qu’on appelle l’Holocauste. Une des propagandistes
les plus dépravées, Deborah
Lipstadt, dit qu’il ne peut y avoir de
version alternative à l’Holocauste
autre que celle officiellement
sanctionnée. Toutefois, dans une
société ouverte qui devrait pouvoir
promouvoir les débats et la
discussion intellectuelle, si quelqu’un
ose aborder ce sujet au lieu de
marcher au pas militaire au sein de
la machine de propagande juive, on
le qualifie immédiatement
« d’antisémite ». Dans le Ministère
orwellien de la Non Vérité sioniste, on ne répète que le mantra de Big Brother des
Six Millions, Six Millions, Six Millions… sinon l’on subit d’irréparables
conséquences.
En Europe, de nombreux recherchistes ont été emprisonnés pour n’avoir que
remis simplement en question les chiffres et les déclarations sur l’Holocauste. Ils
n’ont commis aucun crime, si ce n’est d’avoir posé des questions. Pour cette
apparente offense, ils ont été mis derrière les barreaux pour un certain temps,
même une fois pour quelques années. Est-ce ce que nous voulons aussi aux
États-Unis ?
Notre Premier Amendement s’applique-t-il encore ou plierons-nous sous une
main de fer dictatoriale et maniaque d’intolérance et de suppression ? Parce
qu’un groupe clandestin de scénaristes a soigneusement réalisé ce canular
élaboré, le reste de la société devrait-il être forcé de l’accepter involontairement
et sans argumenter juste parce qu’ils l’ont dit ?
Grâce à ce livre — et de nombreux autres publiés auparavant — le chat sort du
sac et on démontre que le roi est nu. Le Père Noël est une charade infantile et
l’Holocauste est ridicule dans son absurdité absolue.
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LES CAMPS DE TRAVAIL LES CAMPS DE TRAVAIL: PAS DES USINES DE MORT : PAS DES USINES DE MORT : PAS DES USINES DE MORT
Pour continuer notre enquête en la matière, il est crucial de faire usage d’une
pensée critique. Au plus fort de la Deuxième Guerre Mondiale, les Allemands
possédaient approximativement huit millions d’hommes combattant sur plusieurs
fronts, dont trois millions seulement en Russie. Les Allemands avaient un besoin
si urgent de soldats, vers la fin de la Guerre, qu’ils appelaient littéralement tous
les hommes valides âgés entre 16 et 45 ans. En fait, tous ceux sur qui ils
pouvaient mettre la main.
Rappelons-nous que c’est la Deuxième Guerre – la plus grosse opération
militaire de l’histoire. Quatre millions d’Allemands y perdirent éventuellement la
vie. En considérant les vastes exigences requises par leur machine de guerre, qui
donc fabriquèrent tous les tanks, les cartouches, les uniformes, les fusils, les
bottes, les casques et un paquet d’autres choses nécessaires à maintenir leurs
armées sur les champs de bataille ?
Exprimé d’une autre façon, vu tous leurs hommes déjà engagés dans les
combats, les Allemands cherchèrent des travailleurs pour leurs usines par tous
les moyens possibles. À cet égard, si les Juifs pouvaient servir dans ce travail si
nécessaire, où se trouve la logique de tuer tous ces travailleurs ?
En outre, une des raisons principales pour lesquelles les Allemands perdirent
la Deuxième Guerre Mondiale, c’est que les Alliés avaient coupé leur alimentation
en carburant. Par conséquent, les Allemands furent forcés de créer de l’huile
synthétique. Étant donné que leur massive machine de guerre — les tanks, les
jeeps, les trains et les avions — exigeaient une quantité exorbitante de carburant,
comment est-il possible que les Allemands aient dépensé (i.e. gaspillé) des
millions de gallons de carburant pour gazer six millions de Juifs ?
Comme nous allons le prouver plus loin, pas un seul Juif ne fut délibérément
gazé à mort dans les camps de concentration maintenus par les Allemands. Alors,
allons-nous avaler que les Allemands auraient
dilapidé leurs ressources pour transporter six millions
de Juifs par train, dans des pays étrangers, dans le
seul but de les tuer ?
◄ Heinrich Himmler ◄ Heinrich Himmler Heinrich Himmler
Pour ceux qui se cramponnent toujours à la fable
de l’Holocauste, il est temps de crever quelques
ballons. Le 28 décembre 1942, Heinrich Himmler
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émit un commandement. « Le taux de mortalité dans les camps de concentration
doit être réduit à tout prix. »
Une telle exigence est particulière, parce que les Nazis n’étaient-ils pas
supposés tuer leurs prisonniers juifs et non pas leur épargner la vie ? En réponse,
l’inspecteur des camps, Richard Glucks écrivit, le 20 janvier 1943 : « Tous les
moyens seront pris pour abaisser le taux de mortalité. »
Puis, le 10 avril 1943, le Bureau d’Administration économique d’Oswald Pohl
révéla que, dans leurs centres de travail, les décès étaient brusquement
descendus de 8,5 pourcent, en juillet 1942, à 2,8 pourcent en juin 1943.
Ces chiffres ont beaucoup de bon sens, particulièrement à Auschwitz qui était
un centre industriel tentaculaire au besoin désespéré de travailleurs. Voici les
mots exacts de Himmler : « Les docteurs des camps auront à voir que les
conditions de la main-d’œuvre des divers endroits de travail s’améliorent autant
que faire se peut. » Himmler visita également chacun des camps afin d’évaluer
son efficacité… pas en faisant exécuter les travailleurs, mais plutôt pour
déterminer jusqu’à quel point leur production de matériel de guerre était efficace.
Si les travailleurs mouraient, cela entravait la production.
De plus, Reinhard Heydrich, qui était à la
tête de la police secrète et prétendu auteur
de la « Solution finale » de la célèbre
Conférence Wannsee, écrivit, en vérité, le
20 janvier 1942 : « Sous une direction
appropriée, les Juifs devraient maintenant,
selon le cours de la Solution finale
[Endlosung], être amenés vers l’est d’une
manière convenable afin d’y être employés
au travail. »
◄ Reinhard Heydrich ◄ Reinhard Heydrich Reinhard Heydrich
De la même manière, en avril 1942, le
général SS Oswald Pohl exigea ceci : « La
mobilisation de la force de travail de tous
les internés, principalement pour les tâches
de guerre, doit avoir préséance absolue »
Les Juifs, comme les Slaves, les Gitans, les homosexuels et les catholiques,
étaient tous de la matière première précieuse que l’on devait mettre à l’œuvre
dans les usines appartenant aux compagnies comme la I.G. Farben. Des
photographies prises entre le début et le milieu des années 1940 révèlent
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qu’Auschwitz était un énorme complexe industriel où l’on manufacturait du
caoutchouc, du matériel médical, de l’armement et des vêtements.
Seulement à Auschwitz, il existait 39 différents camps de travail, dont 19
constitués de Juifs. Une des usines — le camp No 16 de Monowitz — se glorifiait
d’avoir 126 000 travailleurs. Il est clair que les Juifs étaient un élément vital
contribuant à faire rouler leur machine de guerre.
Le 17 avril 1943, Adolf Hitler fit une requête auprès de l’amiral Milos Horthy. Il
voulait « 100 000 Juifs pour travailler dans un programme d’avions de chasse. »
Comme c’est étrange, particulièrement depuis qu’on nous prétend qu’Hitler
voulait que tous les Juifs soient exterminés. Puis, en mai 1944, Hitler rechercha,
de son propre gré, 200 000 Juifs de plus pour travailler dans ses usines d’outils
de guerre.
200 000 — c’est un très grand nombre, et quand on les ajoute aux 100 000
précédents — cela constitue beaucoup de Juifs gardés en vie, et non pas
massacrés.
Les travaux forcés s’avérèrent un élément clé des efforts de guerre allemands,
spécialement pendant les dernières années de 1943 à 1945. Encore une fois, à
Auschwitz, près de 1 000 sous-camps industriels furent créés pour fournir les
travailleurs. Les Juifs, entre autres, construisirent des routes et des maisons,
ramassèrent les déchets ou travaillèrent comme mineurs dans les carrières.
Au risque de me répéter, les Juifs servirent de main-d’œuvre à bon marché
exploitée par les SS, la I.G. Farben et un grand nombre de manufactures
allemandes. Par exemple, à Auschwitz, les ouvriers produisirent de la buna, sorte
de caoutchouc synthétique utilisé dans la fabrication de pneus.
Pourquoi les Allemands auraient-ils expédié des centaines de milliers
d’esclaves vers les usines seulement pour les tuer ensuite ? Cette pensée est
absurde. À nouveau, les Allemands avaient un besoin désespéré de travailleurs.
Des chambres à gaz homicides étaient ce qu’il y avait de plus éloigné de leurs
pensées.
Pour documenter ce fait, la Croix-Rouge néerlandaise a fait paraître des lettres
écrites par des travailleurs juifs d’Auschwitz. Dans leurs correspondances, ils
décrivent leurs tâches comme étant « dures, mais tolérables », la nourriture
comme « adéquate » et leurs dortoirs comme « bons ».
Abordons une simple proposition : pendant les moments les plus chauds de la
Deuxième Guerre Mondiale, pourquoi les Allemands auraient-ils transformé de
vastes centres industriels comme Auschwitz — qui fournissaient leur machine de
guerre — pour en faire des camps d’extermination ? Toutes les ressources
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nécessaires à la fourniture des troupes auraient soudainement été diverties en
fours pour cuire des gens, particulièrement au moment où ils auraient eu à
combattre les Américains, les Anglais, les Français et les Russes sur divers fronts.
Un cas en question : le 15 août 1944, des Juifs hongrois totalisant 90 000
furent exportés dans des camps de travail. Plus tard dans l’année, Himmler
déclara que 40 % de plus d’avions de chasse sortaient des lignes d’assemblage
grâce au travail fourni par ces Juifs hongrois. Loin de vouloir les incinérer, les
Allemands les considéraient comme un actif. La théorie d’extermination de
l’Holocauste n’a tout simplement pas de sens.