UN EPITAF?

 

Democrații sunt gata să declanșeze un război civil în Statele Unite

Begin forwarded message:

The West threw itself into the dustbin of history

Le 9 novembre – Source Paul Craig Roberts

 

If the courts enforce election law, the fraudulent votes will be overturned and Trump will be declared the winner. Election fraud is beyond doubt. Here’s the real question: In the face of media hostility, Antifa and BLM violence, and Republican cowardice, will Trump have the support he needs to see him through?

 

 

Regardless of the next White House host, the country is now hopelessly divided. Americans who voted „Republican” know the election was stolen from them by a coup d’état. They know that whites have been demonized as racists and are on their way to becoming second-rate citizens in what was once the land of free men. It took them a long time to realize this, but the blatant theft of the election and the media’s complete silence about it made them realize their vulnerability as „racist whites.”

 

The problem facing our country is that Democrats and the media know, as well as Republican voters, that the election was stolen. This flight, they organized it. They see it as necessary in order to get rid of Trump, who was demonized as a racist, sexist, Russian agent, and, according to Nancy Pelosi, Speaker of the House of Representatives, an enemy from within who refuses to accept this stolen election. .

 

For the Democrats, the media, the Antifa / BLM fascists who organize „crystal nights” against white-run businesses, getting rid of Trump is more important than anything about democracy. That one of the two big parties renounces democracy means, as was already the case in Rome, that power is now the supreme value.

 

If this theft is sanctioned, there will never be free elections in the United States again. Elections will be scheduled in the service of the ruling elite until they get rid of this sham democracy.

 

In previous articles, I predicted that the stoked hatred against Trump was such that his orchestrated defeat would spark calls for revenge against those who support him, and this is what is happening:

 

This is the current situation in the United States. The media are 100% hostile to Trump supporters. So are the Democratic Party, the CIA and the FBI. Abroad, the media are also hostile to them. Who is favorable to them? No one. They are alone. They are not organized. In America today, Trump supporters are more demonized than Jews were in Nazi Germany. Few of them are aware of the seriousness of the threat. An Australian correspondent for Chronicles magazine, in its November issue, made the issue clear. This is what he says: since whites are pathologically racist according to the left, the only solution to this white racism „should logically lead to the annihilation of the people who embody it.”

 

In other words, the death camps.

 

The logical consequences do not always come true, but the logic of the left involves civil war. It is not the right that is pushing for civil war. It is the left and the Democratic Party, backed by the whores of the media, that are pushing for civil war. And it is the supporters of Trump, the dispossessed working class, who are being attacked.

 

The hatred that Democratic Party and leftist politics have sparked against „white racists” breeds civil war – primarily between whites – unless the demonized white majority has been too blamed to be able to resist.

 

I am not optimistic. Jean Raspail showed, in his prophetic novel „Le camp des saints”, that once a people are demonized and convinced of their guilt, their size does not matter.

 

What we see all over Europe and in the Democratic Party is the determined desire to overwhelm the white majority with the opening of borders.

 

This criminal foolishness fits very well with the powerful globalist elite who want the end of national sovereignty and the destruction, through mass immigration, of the ethnic groups that once made up a country.

 

The globalist elite are organized and have billions and billions of dollars with which to finance their agenda. The whites who are the victims are unorganized, they have no money since their jobs have been relocated to Asia and, to live, can only sink into debt.

 

The hordes that were stopped by Charles Martel, and later at the gates of Vienna, will now triumph with the help of Merkel’s Germany, Macron’s France, and President Kamala Harris.

 

If Democrats come out unpunished by the theft of the 2020 election, the West and its white population are over.

 

We can start writing his obituary.

 

Paul Craig Roberts

 

 

Le 9 novembre – Source Paul Craig Roberts

Si les cours de justice font respecter la loi électorale, les votes frauduleux seront annulés et Trump sera déclaré vainqueur. La fraude électorale est hors de doute. Voici la vraie question : face à l’hostilité des médias, à la violence des Antifas et des BLM et vu la pusillanimité des Républicains, Trump aura-t-il le soutien nécessaire pour aller jusqu’au bout ?

Quel que soit le prochain hôte de la Maison Blanche, le pays est désormais irrémédiablement divisé. Les Américains qui ont voté « Républicain » savent que l’élection leur a été volée par un véritable coup d’État. Ils savent que les Blancs ont été diabolisés comme racistes et qu’ils sont en passe de devenir des citoyens de second ordre dans ce qui fut la terre des hommes libres. Il leur a fallu longtemps pour s’en aviser, mais le vol éhonté de l’élection et le silence complet des médias à ce propos, leur ont fait prendre conscience de leur vulnérabilité de « Blancs racistes ».

Le problème auquel est confronté notre pays est que les Démocrates et les médias savent, aussi bien que les électeurs républicains, que l’élection a été volée. Ce vol, ils l’ont organisé. Ils le considèrent comme nécessaire afin de se débarrasser de Trump, lequel fut diabolisé comme raciste, sexiste, agent russe, et, selon Nancy Pelosi, Président de la Chambre des Représentants, un ennemi de l’intérieur qui refuse d’accepter cette élection volée.

Pour les Démocrates, les médias, les fascistes Antifa/BLM qui organisent des « nuits de cristal » contre les commerces tenus par des Blancs, se débarrasser de Trump est plus important que tout ce qui concerne la démocratie. Que l’un des deux grands partis renonce à la démocratie, cela veut dire, comme ce fut déjà le cas à Rome, que le pouvoir est désormais la valeur suprême.

Si ce vol est avalisé, il n’y aura plus jamais d’élections libres aux États-Unis. Les élections seront programmées au service de l’élite dirigeante jusqu’à ce qu’elle se débarrasse de ce simulacre de démocratie.

Dans de précédents articles, j’avais prévu que la haine attisée contre Trump était telle que sa défaite orchestrée susciterait des appels à la vengeance contre ceux qui le soutiennent, et c’est ce qui a lieu:

J’avais également prévu que Trump serait exclu des forums médiatiques où il pourrait défendre sa position devant le peuple, et c’est le cas :

Telle est la situation actuelle aux États-Unis. Les médias sont à 100% hostiles aux partisans de Trump. De même que le parti Démocrate, la CIA et le FBI. A l’étranger, les médias leur sont également hostiles. Qui leur est favorable ? Personne. Ils sont seuls. Ils ne sont pas organisés. Dans l’Amérique d’aujourd’hui, les partisans de Trump sont plus diabolisés que ne l’étaient les Juifs dans l’Allemagne nazie. Peu d’entre eux sont conscients de la gravité de la menace. Un correspondant australien du magazine Chronicles, dans son numéro de novembre, a clairement exprimé l’enjeu. Voici ce qu’il dit  : comme, selon la gauche, les Blancs sont d’un racisme pathologique, la seule solution qu’on puisse apporter à ce racisme blanc « devrait conduire logiquement à l’anéantissement des gens qui l’incarnent ».

Autrement dit, les camps de la mort.

Les conséquences logiques ne se réalisent pas toujours, mais la logique de la gauche implique la guerre civile. Ce n’est pas la droite qui pousse à la guerre civile. C’est la gauche et le parti Démocrate, soutenus par les putes des médias, qui poussent à la guerre civile. Et ce sont les partisans de Trump, la classe ouvrière dépossédée, qui sont agressés.

La haine que la politique du parti Démocrate et de la gauche a suscitée contre « les racistes blancs » engendre la guerre civile – essentiellement entre Blancs – à moins que la majorité blanche diabolisée ait été trop culpabilisée pour être susceptible de résister.

Je ne suis pas optimiste. Jean Raspail a montré, dans son roman prophétique « Le camp des saints », que dès lors qu’un peuple est diabolisé et persuadé de sa culpabilité, sa taille importe peu.

Ce que nous voyons partout en Europe et chez le parti Démocrate c’est la volonté déterminée de submerger la majorité blanche avec l’ouverture des frontières.

Cette sottise criminelle fait très bien l’affaire de la puissante élite globaliste qui veut la fin de la souveraineté nationale et la destruction, par l’immigration de masse, des ethnies qui, autrefois, formaient un pays.

L’élite globaliste est organisée et possède des milliards et des milliards de dollars avec lesquels elle peut financer son agenda. Les Blancs qui en sont les victimes, sont inorganisés, ils n’ont pas d’argent puisque leurs emplois ont été délocalisés en Asie et, pour vivre, ne peuvent que s’enfoncer dans l’endettement.

Les hordes qui furent arrêtées par Charles Martel, et plus tard aux portes de Vienne, triompheront maintenant avec l’aide de l’Allemagne de Merkel, de la France de Macron, et de la Présidente Kamala Harris.

Si les Démocrates sortent impunis du vol de l’élection de 2020, c’en est fini de l’Occident et de sa population blanche.

Nous pouvons commencer à rédiger sa nécrologie.

Paul Craig Roberts