Comentariu primit pe site

*

Israelul european, precum sabia lui Damocles…

RIVAROL

http://www.rivarol.com/Rivarol…

EDITORIAL: 9/06/2016

Pe 31 Mai s-a semnat un nou „cod de conduita” cu Comisia Europeana pentru represiunea inimaginabila si de neconceput a libertatii de opinie pe internet, zic ei ” pentru a lupta mai bine împotriva mesajelor rasiste, antisemite, homofobe și anti­musulmane precum și contra incitarii la ură sau violență pe Internet”. lucru absolut incredibil, acest „cod de conduită”,fiind bazat pe o rețea de „reporteri de încredere”, adica informatori -turnatori de profesie, obsedati plini de zel ai reprimarii adevarului istoric si al gandirii logice ancorate in adevar.

Cititi sub originalul francez al acestui articol o traducere mecanica relativ inteligibila .

016 EDITORIAL http://www.rivarol.com/Editori… 1/2

Titlu:

„Facebook, Twitter, Youtube, Microsoft aux ordres de la LICRA : la liberté sur Internet, c’est fini ! ”

La liberté déjà toute relative sur la Toile, c’est fini. Le 31 mai les quatre géants du Web, Twitter, Facebook, Microsoft et Youtube ont signé un « code de conduite » avec la Commission européenne pour mieux lutter contre les « contenus racistes, antisémites, homophobes ou anti¬musulmans » et autres « messages d’appels à la haine ou à la violence » sur Internet. Chose absolument hallucinante, ce « code de conduite » repose sur un réseau de « rapporteurs de confiance » c’est¬à¬dire de délateurs professionnels et zélés : les associations dites antiracistes et anti¬homophobes. Il s’agit très explicitement de la LICRA, de SOS¬Racisme et de SOS-Homophobie et de leurs homologues étrangères. Les outils de signalement de contenus illicites existaient déjà sur Internet mais cette fois¬ci on s’assure de la participation active et militante des quatre géants américains du Web et on institutionnalise, on officialise la LICRA, SOS¬Racisme et les associations homosexualistes comme des délateurs dûment mandatés. Tous les signalements opérés par ces officines permettront de supprimer les messages politiquement, moralement, religieusement ou historiquement incorrects, de bloquer l’accès à un compte et de diligenter des poursuites judiciaires contre l’auteur des messages ainsi signalés. Ces associations dites antiracistes et anti¬homophobes deviennent véritablement le bras armé de la modération des contenus prétendument haineux sur Internet, puisqu’il est demandé qu’une « grande partie des signalements de contenus incitant à la violence et aux comportements haineux proviennent d’experts », et non des utilisateurs eux¬mêmes, « notamment au moyen de partenariats avec des OSC (organisations spécialisées de la société civile) ».

Ces dernières, dont la liste sera établie en lien avec les Etats membres et la Commission de Bruxelles, seront formées spécifiquement à ce rôle par Facebook, Twitter, Microsoft et Youtube. L’accord signé le 31 mai prévoit également que ces associations — comme la LICRA — soient “soutenues” — c’est¬à¬dire financées de manière évidemment obligatoire — par les entreprises, sauf à perdre des marchés et à subir des sanctions de Bruxelles, « en tenant dûment compte de la nécessité de préserver leur indépendance et leur crédibilité (sic !) ». Twitter, Facebook, Microsoft et YouTube s’engagent en effet à former des personnels spécifiques de la LICRA, de SOS¬Racisme et assimilés pour « que la majorité des signalements valides puissent être examinés en moins de 24 heures ». S’ils confirment que le contenu est une incitation à la haine ou à la violence, ils devront supprimer ou bloquer l’accès, ce qu’ils faisaient parfois déjà en théorie, mais pas toujours en pratique. Les messages, photos ou vidéos signalés par ces délateurs patentés ne seront pas automatiquement supprimés, mais ils seront mis sur le dessus de la pile, et regardés avec bienveillance par les géants du Web. Les ligues de vertu prétendument antiracistes devront aussi avoir accès à « des informations claires sur leurs règles et lignes directrices internes ».

Le mois dernier, trois associations françaises (SOS Racisme, l’UEJF et SOS Homophobie) ont demandé en justice à Youtube, Twitter et Facebook de communiquer des informations sur leurs méthodes de modération, après une campagne de testing qui a révélé selon ces officines « la permanence de nombreux messages haineux pourtant signalés », c’est¬à¬dire en réalité des messages ne correspondant pas à leur vision du monde. Par ailleurs, il est demandé aux géants du web qu’ils « utilisent davantage leur capacité d’atteindre les utilisateurs pour aider les OSC à mener des campagnes efficaces de contre¬discours ». La liberté déjà très surveillée sur Internet risque donc de se réduire comme peau de chagrin. Après celui d’Hervé Ryssen il y a quelques mois, c’est au tour du compte Twitter d’Henry de Lesquen d’avoir été suspendu dans la nuit du lundi 30 au mardi 31 mai. Pour un responsable politique c’est une première en France car Lesquen est candidat à la présidentielle de 2017 mais aussi patron de Radio Courtoisie et du Carrefour de l’Horloge. Il fait déjà l’objet de plusieurs poursuites pour incitation à la haine raciale et contestation de crimes contre l’humanité car sa liberté de ton sur tous les sujets choque la LICRA d’Alain Jakubowicz qui a multiplié les pressions sur Twitter pour obtenir la suspension de son compte. Or, on le sait, il est très difficile de résister à la LICRA. Twitter a donc cédé.

De la même manière, Vincent Reynouard est poursuivi à nouveau par la LICRA pour plusieurs vidéos à caractère révisionniste. La DILCRA, Délégation interministérielle à la lutte contre le racisme et l’antisémitisme, créée en 2012 et placée depuis novembre 2014, sous l’autorité du Premier ministre, et dont le responsable est Gilles Clavreul, multiplie, elle aussi, les poursuites contre les internautes refusant la pensée unique. Elle est à l’origine de plusieurs procès récents contre Alain Soral et contre RIVAROL. Rappelons que la lutte contre le racisme et l’antisémitisme a été érigée grande cause nationale par le Président de la République lors de ses vœux aux Français le 31 décembre 2014. Savez¬vous aussi qu’il existe un Comité interministériel à la lutte contre le racisme, le CILRA ? Voilà ce dont s’occupe prioritairement le gouvernement alors même qu’en France se commettent chaque année des millions de crimes et de délits.

EDITORIAL 6/10/2016 EDITORIAL http://www.rivarol.com/Editori… 2/2 On le voit, qu’il s’agisse du gouvernement français ou de la Commission européenne, l’on a affaire à des agents actifs de notre destruction qui obéissent au doigt et à l’œil au lobby¬qui¬n’existe¬pas. Nous sommes cependant là en plein paradoxe car ce sont ceux¬là même qui promeuvent dans leurs constitutions, dans leurs idées la liberté de pensée, d’expression et de recherche qui la bafouent impunément. Ce sont ceux là même qui pointent du doigt les Français écrivant, certes de manière condamnable, des lettres de dénonciation à la Kommandantur pendant la guerre qui pratiquent la plus détestable des délations. Ce sont ceux qui dénoncent sans nuances l’inquisition et font de Galilée un héros luttant contre l’obscurantisme qui imposent des vérités officielles en histoire, instituent des lois contre le blasphème et prévoient des amendes et de la prison ferme pour les contrevenants. Ce sont les héritiers de ceux qui réclamaient la révision du procès Dreyfus condamné deux fois par un tribunal militaire régulièrement constitué qui refusent toute révision du jugement du tribunal militaire international de Nuremberg, tribunal créé ex nihilo, dans le plus total arbitraire, par les vainqueurs s’acharnant sur les vaincus. Ce sont ceux¬là même qui professent le plus total athéisme, qui affirment ne croire qu’en la science, qu’en la matérialité des faits, qu’en ce qui peut être prouvé scientifiquement qui imposent une religion de la Shoah où l’on doit adhérer au Dogme des chambres à gaz, du génocide juif et des six millions sans se poser de question, sans exprimer le plus modeste doute, sans même sembler minimiser ou minorer l’étendue et l’importance de ce qu’il faut croire, Le Pen lui¬même ayant été lourdement condamné pour avoir parlé de détail, ce qui n’était pas une négation mais ce qui a été considéré comme une contestation implicite par volonté de banaliser ou de minorer ce qui ne doit pas l’être. Nous vivons vraiment dans un monde d’aliénés ! Aussi tâchons de raison garder, de conserver notre liberté intérieure, notre esprit critique, notre vigilance et, par dessus tout, notre insoumission active à une tyrannie qui devient chaque jour plus oppressante